jeudi 27 octobre 2005

Un article de réflexion

Je suis toujours en pleine période d’introspection due à ma nouvelle vie. J’ai envie de faire un bilan. Alors aujourd’hui je vais vous proposer un exercice inhabituel. Entre janvier 2003 et septembre 2004 j’ai tenu un journal. Une idée de ma psy pour m’aider à « exprimer de façon clair quels sont mes problèmes et ainsi leur trouver une solution ». En gros je résume sa pensée « Gauthier tu n’as pas de problèmes une fois que tu les auras écrits et que tu les reliras quelques semaines après tu te rendras compte que tu n’as pas de problèmes ». Allez au point où j’en suis, je veux bien me laisser tenter, mais je savais dès le départ que ça serait hippique !

Alors pourquoi j’ai arrêté ce journal ? Pour la raison suivante (et là je me cite) « Je viens de me rendre compte que ma vie de ces deux dernières années tient en 30 pages ! C’est déprimant, mais c’est vrai, je tourne en rond… », donc je ne voyais aucun intérêt à continuer, surtout qu’a chaque fois que je le relisais (suivant toujours les conseils de ma psy), ça me tirais plus vers le bas qu’autre chose.

Je propose donc un autre exercice, je vais prendre une partie du journal tel quel et je vais lui répondre ! Oui parce que maintenant ça ne fait plus peur, j’ai grandi, j’ai évolué, moi fort, moi courageux, moi me lance…

Comme je suis incapable de choisir entre deux parties de ce journal, je vais citer les deux, la première est extraite du premier article que j’ai écrit, la seconde intervient au printemps suivant. Bien sûr les noms seront modifiés, saint anonymat béni sois-tu!

29 janvier 2003 :

Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours été mal dans ma peau, une sorte d’état second, ou plutôt une situation confortable. En effet quoi de plus facile que de redoubler une année en se disant « c’est parce que je vais pas bien ! » ou encore, se disputer avec des proches à cause d’humeurs changeantes en se disant « ils comprendront, ce sont mes amis, ils me connaissent ! ». Mais le cœur est le plus fragile des muscles, on peut le briser, le détruire, mais jamais il n’en sort intact… Et là je sais de quoi je parle.
Marc, avec lui tout fini et tout commence, je ne sais pas si c’est l’homme de ma vie, mais c’est à lui que je pense quand j’écris. Il a mon age, il est beau, on s’est rencontré il y a près de deux ans maintenant, dès que je l’ai vu mon cœur c’est arrêté de battre, mon souffle c’est coupé, tout c’est mélangé en moi, désir, peur, timidité… J’ai fait le serment à un ami présent ce soir-là qu’un jour il serait à moi. J’ai mis un mois, mais on a fini par « conclure » là s'en est suivi un an de bonheur. Pourquoi étais-je heureux ? Parce que pendant un an j’ai mis de cotés tous mes problèmes. Dès que ça n'allait pas je me disais « Marc t’aime, il pense à toi ! » Et hop j’oubliais tout. Il a été mon meilleur antidépresseur, ma raison de vivre et maintenant je suis seul face à la réalité de la vie, froide, vide, effrayante… C’est sûrement ce qui me pousse aujourd’hui à dire que oui, je l’aime plus que de raison, et ce jusqu’à ce que j’en crève !
Pour être honnête, ce n'était pas tout rose, on est très différent, on a cassé, on s’est remis ensemble trois fois. Mais à chaque fois qu’on s’est séparés j’ai souffert, même si c’est moi qui mettais un terme à la relation. J’ai mis un an à me rendre compte que je l’aimais. Et le déclencheur est la rupture finale. Là c’est lui qui est partit et il m’a laissé que mes yeux pour pleurer. Pourtant, encore une semaine auparavant, je disais à ma mère « Marc, ce n'est pas l’homme de ma vie, on est bien ensemble pour le moment, mais j’attends de trouver celui avec qui je pourrais construire quelque chose de vraiment stable et beau ! »
À l’heure actuelle je ne sais pas si c’est bien lui l’homme de ma vie, pourtant je pense à lui tout le temps. Et je me détruis plus ou moins vite en attendant. Mais j’attends quoi ? Plus rien…
J’ai du succès auprès des mecs, je peux coucher avec un différent chaque soir, avoir trois petits copains en même temps, mais ça me ne suffit pas. Je veux tomber amoureux, encore, pour oublier ! Avoir un coup de foudre comme j’ai eu avec lui. J’ai déjà appliqué cette sorte de thérapie. Bon le résultat n’est pas concluant. Le cobaye c’est Matthieu, ma pire erreur, je crois, à l’heure actuelle. Non seulement je n'ai pas oublié Marc, mais en plus je suis tombé amoureux de Matthieu. Désespérant dites-vous ? Affligeant en tout cas. Je me suis fait avoir deux fois en moins d’un an. Record digne d’une blonde, ou plutôt dans mon cas d’un névrosé !
Par névrose, j’entends incapacité à apprécier les choses telles qu’elles sont, je suis un perpétuel insatisfait. Il y a un nom scientifique pour ça… Mais je ne suis pas psychanalyste donc laissons de côté les termes médicaux précis.
Voilà beaucoup de choses se bousculent dans ma tête, et comme je n’ai pas la prétention de savoir écrire, je vais livrer tout ceci sous sa forme la plus simple : un journal intime. Si c’est intime personne à par moi n’est censé lire ces lignes, mais je livre ces pages comme un testament au cas où, un jour, mes problèmes me pousseraient à faire ce à quoi je pense depuis trop longtemps : dormir et oublier pour toujours. Morbide ? Non, terriblement réaliste et moderne, romantique et surfait, inquiétant et passionnant.


Ok, bon quand je vais pas bien j’ai tendance à me prendre pour Proust, et mon style littéraire s’en ressent, mon Dieu que c’est pompeux, ah j’ai honte. Aujourd’hui qu’ai-je à répondre à ça ?

1/ Je ne suis plus amoureux de l’un ou de l’autre.
2/ Je suis incapable de retomber amoureux de qui que ce soit.

C’est pas glorieux, mais je vais quand même éclairer un peu la situation, Matthieu je n’ai plus de nouvelles, depuis au moins 2 ans, tout est clair entre nous, on s’apprécie et si je suis amené à le revoir ça me fera plaisir, et je sais que c’est partagé. Marc c’est plus complexe, je ressens encore beaucoup de choses pour lui, on se donne des nouvelles régulièrement, et dès que j’ai un texto ou un coup de fil de sa part je ne peux m’empêcher de me dire, l’espace d’une milliseconde, « est ce qu’il ressent encore quelque chose pour moi ? ». Oui bon j’ai plus 15 ans, il faudrait que je passe à autre chose, mais c’est plus fort que moi, il occupera toujours une place dans ma vie. Juste un exemple, Marc n’a pas le droit à une vie sentimentale ou sexuelle, quand il me raconte qu’il a couché avec x ou y, des pulsions meurtrières s’emparent de moi. Personne n’a le droit de le toucher, ça me rend fou, mais vraiment. Mais cette colère passe rapidement et se transforme en mélancolie. Vous avez dit névrosé ? Oui et alors, j’assume !

Pour ce qui est de ne plus pouvoir tomber amoureux, je dis ça pour une raison bien précise : je ne pense pas avoir été amoureux de Marc, j’étais plutôt amoureux de la situation, c’était mon anti-dépresseur, il m’a beaucoup apporté, mais je n’ai rien réglé et je me suis tout repris en pleine face après la rupture. Alors si c’est ma façon d’aimer elle ne me convient pas, je veux aimer comme dans les films, et ça je m’en sens incapable, peut-être que je changerai, mais j’en doute, je me vois plutôt finir entouré d’amis, avec des enfants que j’aurais eus avec mes copines, et surtout heureux de regarder mon parcours professionnel. Comment ça je compense ? Mais non arf…


02 juin 2003 :

Mercredi soir, j’avais pas envie de sortir, Benjamin par contre oui, et en plus il voulait boire, donc on a bu, mais comme des trous ! Débarqué au Club vers 7h du mat’ après avoir supporter la crise de Damien 1* « qui va pas bien parce que ça va pas bien ! », on reboit et il se met à chercher de la C. Bon il a pas trouvé, mais par contre on se démonte pas on file au Jim’s, club d’after que je connaissait pas du tout, et là je tombe sur un couple de potes, ils ont des taz, on sort le fric, et on gobe, il est 8h ! Alors je dois dire que sur le moment j’ai pas vraiment vu la différence, vu que j’étais bourré comme pas possible. Ensuite on est partit en after chez le couple en question, et on est rentré vers 10h, me suis coucher vers 11h, et là j’étais bien bien perché, mais je pensais que ça passerait… Grave erreur !!!!! Suis resté perché jusqu’à samedi matin, avec 5h de sommeil entre mercredi midi et samedi matin, j’étais pas crevé, ni malheureux, juste PERCHÉ !!!!!! N’empêche j’adore ça, y a de quoi finir accro à cette merde, qu’est ce que ça doit être la C ! Le pire ? Il m’en reste un entier qui me fait de l’œil… Mais je le prendrais pas tout seul, et pas de suite ! Non mais… J’ai de la volonté moi ! (Quoi ? Suis pas crédible là ? Pfffffffff mais si !)
Et hier au Club j’ai revu Damien 2 mon ex**, je l’ai donc royalement ramener chez moi histoire de baiser, et c’est ce qu’on a fait toute la journée, non mais si tout déraille dans ma vie, j’ai quand même une vie sexuelle ! Na ! Là pas besoin de s’étendre sur le sujet trois heures, c’est fait on en parle plus !
Damien 1 m’énerve, c’est mal partit il a vraiment besoin d’aide parce qu’il a des gros problème avec son école et son boulot, et mÔssieur déprime à vouloir s’en suicider parce que un mec qu’il a pas vu depuis un an et avec qu il est resté 3 jours lui pose un lapin pour boire un café ! Quelquefois j’ai vraiment envie de le suicider moi-même ! Comme ça au moins on en parle plus… J’t’jure ! Bref il faut être patient, ça lui passera comme à chaque fois, je le sais de toute façon !
Voilà après il y a pas grand-chose d’autre à dire, sauf que je suis raide dingue amoureux de l’autre con (Marc) et qu’il me manque comme jamais mais bon, je reprend un taz et j’oublie ! C’est quand même merveilleux la drogue je dis ! De toute façon je sais que je vais finir drogué, ça fait un an que je le sais… Si seulement j’en avais les moyens !
Je crève la dalle, j’ai pas envie de manger, je suis mort de fatigue, j’ai pas envie de dormir, j’ai besoin d’amour, j’ai pas envie de me trouver un « autre » mec. Joyeux non ? Suis à fond ce soir ! Vais vider le frigo et au pieu…


* Damien, c’est mon meilleur ami de l’époque, on ne se parle plus depuis le printemps de cette année, on est fâché comme des collégiens « t’es plus ma meilleure amie, maintenant c’est machine ma meilleure amie, je vais te griller dans tout le collège, plus personne ne se mettra à coté de toi au self ! », oui je sais c’est pathétique, mais bon on est comme ça ;)
** Rien a voir avec l’autre, ils ont juste le même prénom.

Donc petit éclairage contemporain, je ne parle plus donc à Damien, ce qui ne me manque pas. Demandez à Nina et au reste de mes amis, ils m’ont tous applaudit des deux mains quand je leur ai annoncer que je ne l’imposerai plus dans toutes nos soirées « Enfin tu a compris que ce mec ne t’apportait rien !!! ». Bref parlons de l’épisode « drogue », j’ai déjà dit dans un de mes articles qu’on m’en avait proposé récemment et que j’avais fièrement refusé (alors que j’étais plein). Là il s’agit de la première fois de ma vie où j’en ai pris, ça a duré 4/5 mois je me souviens plus trop. J’ai fini par avoir de la C, pour ce qui est du problème de fric, ça ne se pose pas au début. Oui, les dealeurs, sont des commerciaux doués, au début on t’offre tes doses (là je parle de cocaïne, parce que les taz c’est plutôt rare que ça soit gratuit). Et une fois que tu apprécies bien de te poudrer le nez, une à deux fois par semaine en soirée, on te propose un gramme à « prix d’amis » alors tu ne résiste pas, après tout ça fait quelques semaines que tu en prend à l’œil, cette fois tu peux en offrir. Et tu rentres chez toi avec le reste de C, et un soir où ça va pas bien, tu en prend un peu juste avant de sortir, pour « te mettre dans l’ambiance ». Et là c’est fini, tu en achète dès que tu as trois sous, tu en as toujours sur toi, et tu en prend quasiment tous les jours. Heureusement pour moi je n’ai jamais franchi la barrière de la dépendance physiologique, j’étais juste dépendant psychologiquement, mais ça a quand même été dur d’arrêter. Alors si je n’ai qu’un conseil à dire : si ce n’est pas encore fait, n’y touchez pas, personne ne peut dire qu’il sait ce qu’il va se passer quand on est drogué (montée, descente), et surtout personne ne peut dire qu’il maîtrise c’te merde, elle te contrôle, tu ne contrôles rien. Et je parle de toutes les formes de drogue. Voilà faut bien un peu de bonne morale bien pensante dans ce blog.

Je vais arrêter mon auto analyse ici, peut-être que je recommencerais une autre fois, j’en ai des tonnes dans mon journal, des drôles des moins drôles, mais bon promis la prochaine fois, j’essaie de vous faire rire.

mardi 18 octobre 2005

Chronique d’un suicide annoncé

(article publié chez les vingtenaires)

Voilà nous sommes mi-octobre, et je vis à Paris.

Alors je sais que ce blog a comme vocation de raconter nos errances sentimentales, sexuelles, éthyliques, donc l’histoire de mon installation dans la capitale ne rentre pas vraiment en ligne de compte. Mais bon je fais ce que je veux, donc j’ai décidé de vous emmerder avec ma vie, un peu plus encore.

Au moment où je commence à écrire cet article je suis plutôt d’humeur mélancolique (cf le titre de l’article), j’ai peur que cela se ressente alors je préfère prévenir…

Donc petit flash back, au début du mois j’ai appris que j’étais pris en master pro sur Paris, oh joie oh délectation suprême !!! La fièvre retombe très vite et se transforme en immense angoisse du fait que la rentrée a lieu 4 jours après, ARGH !!! Là c’est l’angoisse. Sur Paris je connais quelques personne dont notre Nina nationale, mais bon mon réseau social va sévèrement s’étioler, et je ne parle pas du fait qu’il faille que je trouve un appartement en 4 jours, là c’est de la SF.

Bref heureusement pour moi, j’ai de la famille sur paris, donc je me fais héberger gratuitement « le temps nécessaire ». Ouf !!!

Mais avant ça d’ailleurs je me rends compte que je ne vous ai pas parlé du week end avant mon départ ! Rha lalalala je fais n’importe quoi. Donc je rentre sur Toulouse le vendredi sachant que le Lundi je dois repartir vivre sur Paris de façon « définitive », je réunis donc la bande à Zazous et je promets « une soirée mémorable, à inscrire dans les annales « (sans jeux de mots… quoique…) bref ce fut du grand n’importe quoi. Pour résumé, on a bu, bu, bu, bu, dansé, bu, dansé, j’ai fait du touche-pipi dans les chiottes de la bote avec un chouchou plutôt miam-miam, et j’ai forcément explosé ma caisse en rentrant… Je suis pitoyable ! Me voilà donc au milieu d’un rond-point avec les jantes cassées, les amortisseurs cassés, la direction cassée, le moral cassé. Que fais-je ? J’appelle ma mère… No coment, je ne suis qu’un pauvre pédé sensible, dès que j’ai un problème, j’appelle ma mère, j’assume et je vous merde… De toute façon c’était pas totalement ma faute l’accident (les amortisseurs étaient plus que fatigués et l’ESP a merdé donc j’ai fait des tête-à-queue). Donc là c’est quand même la grosse panique, je peux pas laisser la voiture là, on va me la foutre à la fourrière, je peux pas appeler les flics, j’ai dépassé le stade du coma éthylique d’un humain normal, donc je fais quoi ? Ben la solution vient de mon assurance de gueudin, j’appelle Europe Assistance, et ils m’envoient une dépanneuse, qui me dépose gentiment chez moi à 50 km de mon point d’impact ! C’est’y pas merveilleux ? Moi perso je suis fan…

Donc là je rentre, je me couche et je dis au revoir à Toulouse pour un moment.

Ensuite me revoilà à Paris, des dépenses en veux-tu en voilà, je m’en sors pour 4000€ pour l’instant, soit en 15 jours (donc là il faut mettre : resto, bouffe, sorties, fringues, ticket de métro, frais d’inscription, loyer, caution, meubles…), et le pire c’est que j’en dépenserai encore au moins autant dans le mois qui vient.

Pourquoi ? Ben je déprimouille, donc l’achat compulsif refait surface comme jamais dans ma vie, je suis faible, mais qu’est ce que c’est bon de faire les boutiques !!!!! Je suis sûr que tu connais ce sentiment intense cher ami lecteur, allez avoue que ce petit pull rose fushia acheté lors des dernières soldes (seul article non soldé du magasin) tu ne l’as mis qu’une fois, parce que la finalité n’est pas de se fringuer, mais de DÉPENSER DU FRIC !!!!!! D’ailleurs si aujourd’hui j’écris cet article complètement déconstruit et dénué de tout sens c’est uniquement pour éviter d’être tenté de faire chauffer la CB (quoi Nina tu pensais que c’était parce que tu m’avais demandé un article ? C’est beau d’être naïf…).

Bon j’avais dit que j’allais raconter ma vie, alors je vais m’y tenir un peu, j’ai donc réussi un exploit : trouver un appart en moins d’une semaine. Bon ok c’est tout petit, mais il est super bien situé (non il est pas dans le marais), sans pousser jusqu’à dire où je vis, je suis plutôt fier de ma trouvaille. Maintenant le plus dur c’est de s’habituer à la vie parisienne, et surtout au vide immense dans ma vie sociale. En plus j’ai plus le net, je devrais le récupérer avant la fin du mois d’octobre, mais bon jusque-là je fais des passages éclair dans des cyber. Et au prix où c’est je ne peux pas me permettre de zoner sur les chats, donc je n’ai plus de vie sexuelle !!! Moi sans vie sexuelle ! Vous imaginez ? Moi non plus… Hein ? Quoi ? Je mens ? Ah oui j’ai oublié de parler du chouchou que je tire régulièrement, mais bon ça compte pas c’est un gentil garçon qui partage ma couche une à deux fois par semaine… Et puis moi je suis dans une ville immense qui regorge de pédales, alors j’ai envie de tisser des liens… En gros oui, j’avoue, j’ai envie de baiser comme un malade avec tout ce qui bouge, ben quoi, moi la nouveauté, ça me donne chaud !

Donc voilà aujourd’hui je peux faire ce bilan : plus de vie sociale, plus de vie sexuelle, un découvert démesuré qui s’annonce, donc oui je suis déprimé, mais bon une bonne cuite ce week-end et un raccordement au réseau la semaine prochaine devrait y remédier sans mal. Nina il faut juste que tu me prêtes quelques un de tes amis pour que je m’acclimate.

Oui lecteur, j’ai failli oublier (comment pourrais-je oublier ça ???) j’ai rencontrer Sab, Tink, et Banana, des filles merveilleuses qui me font bien rire, donc je vais les réquisitionner pour des soirées beveuries dont seul j’ai le secret… À bon entendeur…

Ps : oui c’est un petit article, mais bon j’ai vraiment trop envie de filer faire les boutiques, je suis incorrigible ;)