Sous titre : Dieu est partout.
Sous la pression générale, je suis obligé d’écrire un article pour vous raconter mon week end, et plus particulièrement ma soirée de samedi. Je n’avais pas vraiment envie, parce qu’à part une ou deux anecdotes, on reste dans quelque chose que vous n’avez que trop l’habitude de lire : de l’alcool, du sexe, de la débauche…
Mais apparemment il faut quand même que je le raconte, alors je m’exécute…
Plantage du décor : semaine de merde, Nina a déprimé toute la semaine, moi je me suis cogné 38 à 39°C de fièvre en continue, ça a démarré par une jolie rhino, puis c’est devenu grippal et ça se termine en bronchite façon cancéreux en fin de vie… Alors pour rappeler quand même, cette semaine je passais un entretien très important pour mon avenir professionnel. Vous imaginez qu’avec la fièvre et 2h de sommeil dans les jambes, j’ai été au maximum de mes capacités intellectuelles !!!!! Si je croise Dieu, je le fume ! Heureusement au milieu de tout ça j’ai appris que j’avais validé mon semestre (ouf !).
Donc me voilà abordant le weed end avec une réelle appréhension, que peut-il se passer après une semaine pareille ? Ben n’importe quoi voyons ! Donc ma collègue de promo russe m’informe que je suis obligé de me rendre à sa soirée de samedi. Oui je trouve aussi qu’on m’oblige à faire beaucoup de choses en ce moment, mais que voulez-vous, je suis faible môa ! Donc je prends Nina sous le bras et nous voilà devant un étal de vodka sibérienne.
Pour être sûr que je vienne ma russe m’avais préciser « on ne sera pas nombreux, il a moins d’alcool, et surtout on ne fête rien, donc ça sera calme ». L’embuscade de folie !!!! Mais comment avec tout mon entraînement j’ai encore pu me faire avoir ? Mais ça sentait le piège à 20 bornes et moi j’y fonce la bouche en cœur !!!! Je suis nul quand je m’y mets quand même… Donc fatalement on se retrouve à une petite quinzaine, avec du champagne parce que son mec a eu son concours de la fonction publique ! ON FÊTE RIEN DE PARTICULIER ? Pfffff Je suis parti à minuit trente avec 4,5 g dans chaque bras… Une épave…
La mère Nina elle était déconstruite, elle a passé une bonne partie de la soirée sur une poire, à bader une étagère fixée à 2m du sol en face d’elle, j’ai des photos, elle est belle, mais plus totalement attribuée (il n’y a plus personne, c’est flippant, elle est floue à force de boire !). Donc elle fini par migrer vers le canapé, ce qui la rapproche de son étagère, et elle lui déclame son amour, et se lance devant une assistance médusée à l’explication du pourquoi du comment qu’elle a une vie sexuelle avec les étagères ! (on l’a déjà expliqué 20 fois, relisez les vieux articles)
Donc direction le métro, et retour dans nos quartiers, je suis quand même très très saoul, et j’ai envie de sortir… Mais pour d’obscures raisons je dois me lever à 11h le dimanche matin, et Nina aussi, alors que faire ? Oui tient avant de continuer, je vais quand même préciser ceci : on l’a fait une fois (de se lever aux aurores un dimanche), on le fera pas deux, la prochaine fois par pitié passe un soir, tu verras on sera en meilleure forme, bref on se refait ça quand tu veux… Mais pas un matin, ok ? Fin du message personnel...
Donc il est plus raisonnable de rentrer, Nina s’exécute, et elle vous racontera, si elle le souhaite, sa nuit tout en triptyque… Moi je décide de partir en boite, forcement, et me promettant de rentrer pour 3h du matin ! Je suis drôle de dire ce genre de connerie, je sais… Donc me voilà au bar, je commande mon verre, et le temps que le serveur me le prépare, je lance un regard bovin à l’assemblée, et je passe en mode radar « le premier qui me sourit je passe la soirée avec ». Personne ne me sourit, forcement, donc désabusé je me retourne vers le barman, je prend mon verre, et là mon regard croise celui de la bombe qui est assise à la droite, je ferme un œil (très classe) pour ne pas le voir en double, il est très beau, je souris, il me sourit, il rougit, je lui propose un verre, il accepte. YES, JE VAIS BAISER CE SOIR ! Non vous n’avez pas loupé d’épisodes, il suffit que le mec accepte quelque chose venant de moi, ça veut dire qu’il est prêt à parler, et donc il se fera avoir et finira avec ma bite dans son cul, c’est mathématique, je transforme toujours l’essaie… N’est pas sex symbol qui veut…
Donc on papote, on papote, et il m’apprend qu’il est américain, il vient de Seattle, il passe un mois sur Paris, il me trouve très beau, il adore la France et les français, je n’ose pas lui demander son age, je ne suis pas sûr qu’il soit totalement majeur en fait… Il me demande s’il peut passer la nuit avec moi, avec un accent très prononcé, je ne peux malheureusement pas vous le reproduire ici. J’accepte, mais le problème c’est qu’il vit avec plusieurs autres américains, bref chez lui c’est pas possible. Qu’à cela ne tienne, allons chez moi !
ET MERDE ! J’ai oublié un léger détail, un détail tout frisé, un détail avec un accent toulousain, un détail qui dort dans mon lit ce soir : Emma ! Que faire ? Rentrer, mettre Emma dans la baignoire, et baiser comme des castors toute la nuit à côté ? Non quand même ça ne se fait pas voyons… Il reste une solution : prendre un taxi et aller à l’hôtel ! Nous sommes samedi soir, nous sommes sur Rivoli, il est 3h du matin, nous cherchons un taxi, et donc nous allons à l’hôtel à pied (note pour plus tard : brûler un taxi pour se défouler de ne jamais en trouver quand c’est important). Et on se couche gentiment dans une chambre double avec deux petits lits côte à côte. Oui ben moi quand j’ai pas de chance j’ai pas de chance, et il n’y avait plus de grand lit voilà. Et je me fais violer…
Oui vous avez bien lu, violer, le petit il était entreprenant, et il savait ce qu’il voulait, voilà ! Il me demande très poliment si je veux bien « aller en dedans de lui ». MAIS BIEN SÛR !!!!! Et là c’est le drame. Oui parce que c’est une fois qu’il a un sexe « au dedans de lui » que l’américain se dévoile. Vous avez déjà vu un film X homo (oui parce que dans les hétéros je sais pas) américain ? Pour ceux qui connaissent pas ça donne à peu près ça : « Oh Yeah, fuck, fuck my ass, fuck da ass, fuuuuuuuuck, oh yeah baby, come on, fuck me, fuck, fuck, fuck, fuck, i’m gonna cum, oh yeah jesus ! », en gros je suis obligé de couper le son sinon j’ai envie de rire ! Je pensais que c’était juste pour les films, une espèce de légende urbaine tirée de je ne sais quel réalisateur tordu… Et bien pas du tout !!!!
Ce charmant jeune homme c’est acharné à hurler le nom de Jésus Christ Notre sauveur tout le long de l’acte sexuel ! Et moi ya des moments où je n’ai pas vraiment envie d’entendre parler de Jésus. Ça donnait quelque chose comme ça « Oh fuck, jesus christ, oh jesus, fuck, fuck, jesus, oh jesus christ, oh yeah, jesus !!!!! ». Là l’alcool m’a beaucoup aidé, oui je me suis concentré sur ce que je faisais pour ne pas rire. Et puis au bout de 5/10 min de « JESUS, OH YEAH FUUUUUCK », j’ai perdu pied, je me suis lâché, j’étais dans mon film X rien qu’à moi, et il en a eu pour ces « fuck » le petit américain croyez moi. Donc, comme dans les films, on change de positions toutes les trois minutes, on fait des trucs acrobatiques, qui relèvent plus de l’exploit sportif que de la recherche simple du plaisir, des trucs à vous filer des crampes pour vos trois prochaines vies, bref des trucs de ouf. Je pensais pas être aussi sportif au passage… Donc après trois portés en levrettes transversales il m’informe qu’il va jouir « oh fuck, i’m gonna cum ». Enfin je peux dormir, merci mon dieu !
Le lendemain on remet ça au réveil, je vous raconte pas, c’est pareil… Et on se met à papoter, et comme je ne suis plus morte poule, je me souviens de ce qu’il m’a dit. La vision qu’un américain a de Paris et des français est très intéressante. Par exemple en parlant de la Tour Montparnasse il me dit « on dirait une noire queue, mais une grande ! », voilà no comment ! J’apprends également qu’il est venu à Paris pour devenir « model », et je dois avouer qu’il a du potentiel ce petit, il est beau, il est beau, il est beau, IL EST BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!
Je viens de recevoir un mail de sa part, il veut me revoir très rapidement, je pense que je vais répondre par l’affirmative, bien entendu je vous tiendrais au courant de ma vie sexuelle avec un futur mannequin.
Sous la pression générale, je suis obligé d’écrire un article pour vous raconter mon week end, et plus particulièrement ma soirée de samedi. Je n’avais pas vraiment envie, parce qu’à part une ou deux anecdotes, on reste dans quelque chose que vous n’avez que trop l’habitude de lire : de l’alcool, du sexe, de la débauche…
Mais apparemment il faut quand même que je le raconte, alors je m’exécute…
Plantage du décor : semaine de merde, Nina a déprimé toute la semaine, moi je me suis cogné 38 à 39°C de fièvre en continue, ça a démarré par une jolie rhino, puis c’est devenu grippal et ça se termine en bronchite façon cancéreux en fin de vie… Alors pour rappeler quand même, cette semaine je passais un entretien très important pour mon avenir professionnel. Vous imaginez qu’avec la fièvre et 2h de sommeil dans les jambes, j’ai été au maximum de mes capacités intellectuelles !!!!! Si je croise Dieu, je le fume ! Heureusement au milieu de tout ça j’ai appris que j’avais validé mon semestre (ouf !).
Donc me voilà abordant le weed end avec une réelle appréhension, que peut-il se passer après une semaine pareille ? Ben n’importe quoi voyons ! Donc ma collègue de promo russe m’informe que je suis obligé de me rendre à sa soirée de samedi. Oui je trouve aussi qu’on m’oblige à faire beaucoup de choses en ce moment, mais que voulez-vous, je suis faible môa ! Donc je prends Nina sous le bras et nous voilà devant un étal de vodka sibérienne.
Pour être sûr que je vienne ma russe m’avais préciser « on ne sera pas nombreux, il a moins d’alcool, et surtout on ne fête rien, donc ça sera calme ». L’embuscade de folie !!!! Mais comment avec tout mon entraînement j’ai encore pu me faire avoir ? Mais ça sentait le piège à 20 bornes et moi j’y fonce la bouche en cœur !!!! Je suis nul quand je m’y mets quand même… Donc fatalement on se retrouve à une petite quinzaine, avec du champagne parce que son mec a eu son concours de la fonction publique ! ON FÊTE RIEN DE PARTICULIER ? Pfffff Je suis parti à minuit trente avec 4,5 g dans chaque bras… Une épave…
La mère Nina elle était déconstruite, elle a passé une bonne partie de la soirée sur une poire, à bader une étagère fixée à 2m du sol en face d’elle, j’ai des photos, elle est belle, mais plus totalement attribuée (il n’y a plus personne, c’est flippant, elle est floue à force de boire !). Donc elle fini par migrer vers le canapé, ce qui la rapproche de son étagère, et elle lui déclame son amour, et se lance devant une assistance médusée à l’explication du pourquoi du comment qu’elle a une vie sexuelle avec les étagères ! (on l’a déjà expliqué 20 fois, relisez les vieux articles)
Donc direction le métro, et retour dans nos quartiers, je suis quand même très très saoul, et j’ai envie de sortir… Mais pour d’obscures raisons je dois me lever à 11h le dimanche matin, et Nina aussi, alors que faire ? Oui tient avant de continuer, je vais quand même préciser ceci : on l’a fait une fois (de se lever aux aurores un dimanche), on le fera pas deux, la prochaine fois par pitié passe un soir, tu verras on sera en meilleure forme, bref on se refait ça quand tu veux… Mais pas un matin, ok ? Fin du message personnel...
Donc il est plus raisonnable de rentrer, Nina s’exécute, et elle vous racontera, si elle le souhaite, sa nuit tout en triptyque… Moi je décide de partir en boite, forcement, et me promettant de rentrer pour 3h du matin ! Je suis drôle de dire ce genre de connerie, je sais… Donc me voilà au bar, je commande mon verre, et le temps que le serveur me le prépare, je lance un regard bovin à l’assemblée, et je passe en mode radar « le premier qui me sourit je passe la soirée avec ». Personne ne me sourit, forcement, donc désabusé je me retourne vers le barman, je prend mon verre, et là mon regard croise celui de la bombe qui est assise à la droite, je ferme un œil (très classe) pour ne pas le voir en double, il est très beau, je souris, il me sourit, il rougit, je lui propose un verre, il accepte. YES, JE VAIS BAISER CE SOIR ! Non vous n’avez pas loupé d’épisodes, il suffit que le mec accepte quelque chose venant de moi, ça veut dire qu’il est prêt à parler, et donc il se fera avoir et finira avec ma bite dans son cul, c’est mathématique, je transforme toujours l’essaie… N’est pas sex symbol qui veut…
Donc on papote, on papote, et il m’apprend qu’il est américain, il vient de Seattle, il passe un mois sur Paris, il me trouve très beau, il adore la France et les français, je n’ose pas lui demander son age, je ne suis pas sûr qu’il soit totalement majeur en fait… Il me demande s’il peut passer la nuit avec moi, avec un accent très prononcé, je ne peux malheureusement pas vous le reproduire ici. J’accepte, mais le problème c’est qu’il vit avec plusieurs autres américains, bref chez lui c’est pas possible. Qu’à cela ne tienne, allons chez moi !
ET MERDE ! J’ai oublié un léger détail, un détail tout frisé, un détail avec un accent toulousain, un détail qui dort dans mon lit ce soir : Emma ! Que faire ? Rentrer, mettre Emma dans la baignoire, et baiser comme des castors toute la nuit à côté ? Non quand même ça ne se fait pas voyons… Il reste une solution : prendre un taxi et aller à l’hôtel ! Nous sommes samedi soir, nous sommes sur Rivoli, il est 3h du matin, nous cherchons un taxi, et donc nous allons à l’hôtel à pied (note pour plus tard : brûler un taxi pour se défouler de ne jamais en trouver quand c’est important). Et on se couche gentiment dans une chambre double avec deux petits lits côte à côte. Oui ben moi quand j’ai pas de chance j’ai pas de chance, et il n’y avait plus de grand lit voilà. Et je me fais violer…
Oui vous avez bien lu, violer, le petit il était entreprenant, et il savait ce qu’il voulait, voilà ! Il me demande très poliment si je veux bien « aller en dedans de lui ». MAIS BIEN SÛR !!!!! Et là c’est le drame. Oui parce que c’est une fois qu’il a un sexe « au dedans de lui » que l’américain se dévoile. Vous avez déjà vu un film X homo (oui parce que dans les hétéros je sais pas) américain ? Pour ceux qui connaissent pas ça donne à peu près ça : « Oh Yeah, fuck, fuck my ass, fuck da ass, fuuuuuuuuck, oh yeah baby, come on, fuck me, fuck, fuck, fuck, fuck, i’m gonna cum, oh yeah jesus ! », en gros je suis obligé de couper le son sinon j’ai envie de rire ! Je pensais que c’était juste pour les films, une espèce de légende urbaine tirée de je ne sais quel réalisateur tordu… Et bien pas du tout !!!!
Ce charmant jeune homme c’est acharné à hurler le nom de Jésus Christ Notre sauveur tout le long de l’acte sexuel ! Et moi ya des moments où je n’ai pas vraiment envie d’entendre parler de Jésus. Ça donnait quelque chose comme ça « Oh fuck, jesus christ, oh jesus, fuck, fuck, jesus, oh jesus christ, oh yeah, jesus !!!!! ». Là l’alcool m’a beaucoup aidé, oui je me suis concentré sur ce que je faisais pour ne pas rire. Et puis au bout de 5/10 min de « JESUS, OH YEAH FUUUUUCK », j’ai perdu pied, je me suis lâché, j’étais dans mon film X rien qu’à moi, et il en a eu pour ces « fuck » le petit américain croyez moi. Donc, comme dans les films, on change de positions toutes les trois minutes, on fait des trucs acrobatiques, qui relèvent plus de l’exploit sportif que de la recherche simple du plaisir, des trucs à vous filer des crampes pour vos trois prochaines vies, bref des trucs de ouf. Je pensais pas être aussi sportif au passage… Donc après trois portés en levrettes transversales il m’informe qu’il va jouir « oh fuck, i’m gonna cum ». Enfin je peux dormir, merci mon dieu !
Le lendemain on remet ça au réveil, je vous raconte pas, c’est pareil… Et on se met à papoter, et comme je ne suis plus morte poule, je me souviens de ce qu’il m’a dit. La vision qu’un américain a de Paris et des français est très intéressante. Par exemple en parlant de la Tour Montparnasse il me dit « on dirait une noire queue, mais une grande ! », voilà no comment ! J’apprends également qu’il est venu à Paris pour devenir « model », et je dois avouer qu’il a du potentiel ce petit, il est beau, il est beau, il est beau, IL EST BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!
Je viens de recevoir un mail de sa part, il veut me revoir très rapidement, je pense que je vais répondre par l’affirmative, bien entendu je vous tiendrais au courant de ma vie sexuelle avec un futur mannequin.
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