Ouais, j’adore donner des titres de chansons ringardes à mes articles, et alors ? Vous savez bien que c’est pas du Proust ici !
Bref, je ne vais pas vous parler d’amour, non, jamais, enfin pas en ce moment en tout cas… Non, je vais vous parler de sexe. Il y a quelques semaines, j’ai fait une pause dans mes conneries, et pour m’aider à y voir plus clair, j’ai pris un traitement à base d’antiD et d’anxyo.
À l’arrivée, ça n’a rien réglé, en revanche, j’ai découvert que mon corps pouvait très bien tomber en panne. Et quand je dis mon corps, je parle de mon pénis et de ma libido inexistante. Un mois presqu’entier sans avoir envie de déflorer le moindre petit rugbypède à peine pubère que je pouvais croiser.
Un mois c’est long. Surtout pour moi, vu que mon record depuis la perte de ma virginité était de trois semaines d’abstinence pour cause de tri-T préventive tueuse de libido. Depuis, j’ai arrêté les médocs. Pas que je sois guéri, non, loin s’en faut, mais bon vu que j’avais fini par mélanger alcool, médocs et drogues, je me suis dit que pour prolonger ma vie, il valait mieux que j’enlève une inconnue de l’équation.
J’ai donc repris ma vie là où je l’avais laissé, en vrac, au fond du trou. J’ai retrouvé ma pelle et j’ai repris mon entreprise de démolition-forage.
Mais, j’ai dû casser quelque chose en route. J’ai retrouvé toute ma « vigueur », entendez que je bande sans aucun problème, je jouis sans aucun problème aussi, et même que c’est très agréable dans le fond. Mais je n’ai plus envie de baiser tout ce qui bouge.
En fait, j’ai même envie de baiser strictement personne. Et ça, c’est grave.
En l’espace de quelques semaines j’ai plus de fois dit « non » que dans toute ma vie d’adulte. Pour avoir baiser du thon, et assumer mon coté fille facile, je ne pensais pas un jour me priver à ce point. Et avec des bogosses en plus. Des trucs dignes d’un scénario de film de cul (on se souvient tous des pompiers hétéros du banana par exemple).
Mais non, j’ai pas envie. Encore ce week-end, un mec est venu dormir chez moi, et ben j’ai fait un demi-calin, puis je l’ai supplié de me laisser dormir sans me toucher. Il a pas trop compris le pauvre, il a même été super vexé je pense. En même temps, je l’ai pas foutu dehors parce que je voulais pas de lui, je voulais juste dormir avec lui, mais pas le sauter.
Est-ce que je vieillis ?
Je crois que j’ai surtout atteint un nouveau pallié dans ma dépression. J’en suis à un point où même baiser à couille rabattue ne me satisfait plus. Non, j’ai besoin d’autre chose, de plus en fait. J’ai besoin d’amour ?
Non faut pas pousser…
Mais je pense que j’ai besoin qu’on me voit autrement, et le mec qui s’éclate en boite et baise à tout va, c’est pas ce que j’ai envie qu’on voit. Pour le moment en tout cas…
Le souci c’est que j’ai toujours le même appétit sexuel dans le fond. Mais je ne trouve personne avec qui l’assouvir…
J’ai bien quelques noms qui me viennent, mais bon mes ex sont loin et/ou maqués et heureux, donc je peux pas…
(Pathétique non ?)
M’enfin, l’avantage, c’est que cette année pour noël, j’aurai pas une nouvelle IST !
Quoique, suis capable de choper un truc même sans forniquer, j’ai toujours été très doué pour ça…
^^
Allez, je vais me connecter sur un chat de cul, pour voir si l’envie peut revenir, ou pas.
Bref, je ne vais pas vous parler d’amour, non, jamais, enfin pas en ce moment en tout cas… Non, je vais vous parler de sexe. Il y a quelques semaines, j’ai fait une pause dans mes conneries, et pour m’aider à y voir plus clair, j’ai pris un traitement à base d’antiD et d’anxyo.
À l’arrivée, ça n’a rien réglé, en revanche, j’ai découvert que mon corps pouvait très bien tomber en panne. Et quand je dis mon corps, je parle de mon pénis et de ma libido inexistante. Un mois presqu’entier sans avoir envie de déflorer le moindre petit rugbypède à peine pubère que je pouvais croiser.
Un mois c’est long. Surtout pour moi, vu que mon record depuis la perte de ma virginité était de trois semaines d’abstinence pour cause de tri-T préventive tueuse de libido. Depuis, j’ai arrêté les médocs. Pas que je sois guéri, non, loin s’en faut, mais bon vu que j’avais fini par mélanger alcool, médocs et drogues, je me suis dit que pour prolonger ma vie, il valait mieux que j’enlève une inconnue de l’équation.
J’ai donc repris ma vie là où je l’avais laissé, en vrac, au fond du trou. J’ai retrouvé ma pelle et j’ai repris mon entreprise de démolition-forage.
Mais, j’ai dû casser quelque chose en route. J’ai retrouvé toute ma « vigueur », entendez que je bande sans aucun problème, je jouis sans aucun problème aussi, et même que c’est très agréable dans le fond. Mais je n’ai plus envie de baiser tout ce qui bouge.
En fait, j’ai même envie de baiser strictement personne. Et ça, c’est grave.
En l’espace de quelques semaines j’ai plus de fois dit « non » que dans toute ma vie d’adulte. Pour avoir baiser du thon, et assumer mon coté fille facile, je ne pensais pas un jour me priver à ce point. Et avec des bogosses en plus. Des trucs dignes d’un scénario de film de cul (on se souvient tous des pompiers hétéros du banana par exemple).
Mais non, j’ai pas envie. Encore ce week-end, un mec est venu dormir chez moi, et ben j’ai fait un demi-calin, puis je l’ai supplié de me laisser dormir sans me toucher. Il a pas trop compris le pauvre, il a même été super vexé je pense. En même temps, je l’ai pas foutu dehors parce que je voulais pas de lui, je voulais juste dormir avec lui, mais pas le sauter.
Est-ce que je vieillis ?
Je crois que j’ai surtout atteint un nouveau pallié dans ma dépression. J’en suis à un point où même baiser à couille rabattue ne me satisfait plus. Non, j’ai besoin d’autre chose, de plus en fait. J’ai besoin d’amour ?
Non faut pas pousser…
Mais je pense que j’ai besoin qu’on me voit autrement, et le mec qui s’éclate en boite et baise à tout va, c’est pas ce que j’ai envie qu’on voit. Pour le moment en tout cas…
Le souci c’est que j’ai toujours le même appétit sexuel dans le fond. Mais je ne trouve personne avec qui l’assouvir…
J’ai bien quelques noms qui me viennent, mais bon mes ex sont loin et/ou maqués et heureux, donc je peux pas…
(Pathétique non ?)
M’enfin, l’avantage, c’est que cette année pour noël, j’aurai pas une nouvelle IST !
Quoique, suis capable de choper un truc même sans forniquer, j’ai toujours été très doué pour ça…
^^
Allez, je vais me connecter sur un chat de cul, pour voir si l’envie peut revenir, ou pas.
5 commentaires:
une tite galle des gens propre pour rire :)
au secouuuuuuuuuuurs ! t'as besoin d'amuuuuur !
(Chuis bourré, mélange Lexo +SOMMNIFERE +rhuM HIPS°°+)
Donc voilà ma proposition; je te propose comme cadeau de Noêl soit un bon repas au resteau (je paie tout) soit une folle partie de sexe, terminée par une nuit lové l'un contre l'autre... ;-)))))))))
Je ne vois pas vraiment de solution à ce problème-ci, à part attendre que l'envie revienne... Après tout, tu es un garçon !
Un problème ? Tu es peut-être entrain de changer un peu, préférant la qualité à la quantité nan ?
On est tous passés par là et ce n'est pas si castrateur, à mon sens.
D'autant que ... des piqueures de rappel viennent te rappeler ta condition de XY ! Don't be affraid, ce n'est que de l'amour et de l'envie d'être aimé ...
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