Voilà ce que Dieu aurait dit s’il avait parlé à la première tafiole de l’histoire de l’humanité (oui histoire de l’humanité c’est mon pléonasme préféré !).
Demain, je pars à la plage pour une semaine avec 7h48. On va rejoindre Misterbitch dans son tiers-monde natal. Comme quoi, le tiers-monde, des fois, ça a du bon ! Bref, je suis donc en mode « prépares-toi à bronzer ! ». Après avoir nettoyé de fond en comble mon appartement, je me suis attaqué à ma petite personne.
Ndlr : oui avant de partir en vacances, je nettoie du sol au plafond chez moi, comme ça si quelqu’un rentre pendant que je suis pas là, ben j’ai pas honte, il se dit de suite « ouha, c’est niquel ici ! ». Bon, qui va rentrer chez moi pendant les vacances ? À part des voleurs, je vois pas… Donc je fais le ménage pour éviter que les voleurs ne pensent que je suis quelqu’un de sale et bordélique… Ça s’arrange pas mes névroses…
Et ça fait quoi un pédé avant d’aller bronzer ? Ça se dépoilise ! Oui, va-t’en savoir pourquoi, mais les pédé n’aime pas les poils (enfin les pédés normaux, je parle pas de ces gens bizarres qui sont amoureux de leurs poils, sûrement pour faire des choses à caractère sexuel dans des cages à la limite de la zoophilie !).
Je pense que ça vient du lien très fort qui nous unis au sexe faible, et entre martyrs de la mode et des préjugés, on aime souffrir pour séduire le mâle alpha avec nos contours glabres… (mâle alpha qu’on aimera avec poil au début, puis qu’on poussera très vite vers tout ce qui ressemble à une tondeuse, rasoir, crème et autre destop pour enlever ces poils disgracieux qu’on retrouve toujours là où il faut pas – entre les dents ou dans la baignoire, au choix)
Me voilà donc par ce bel après-midi bien chaud du 15 août dans ma salle de bain avec le plan de bataille basique d’éradication de la masse pileuse. Je commence par le visage (sourcils, contour de barbe bien net, oui j’aime que ce soit net !), je passe au cou et au torse, et là je fais une pause obligée avant d’attaquer les aiselles…
Pourquoi ?
Parce que comme dit plus haut, il fait chaud, et la cire elle est encore plus chaude, et entre cette chaleur ambiante, celle de la cire brûlante et l’irritation causée par l’action de dépoilage sauvage, ben je ressemble à un homard dans son jacuzzi au court-bouillon.
J’ai intérêt à être beau sur la plage, parce que là je me sens con… Douloureusement con…
Et va t’en savoir pourquoi, mais l’action a fait apparaître mes veines. Oui j’ai la peau tellement blanche, qu’une fois le poil retiré on voit mon système sanguin en transparence. Y a pas à dire, ça c’est sexy !
Et puis bien sur, y a le plus produit habituel, les petits boutons ! Bon moi j’ai de la chance, ils ne restent pas plus de 6 à 8h, mais bon pour l’instant je suis au top de ma glamouritude !
…
La preuve en image :
Je vais peut-être allé à la plage en burka finalement…
…
Allez, j’y retourne, j’ai pas fini encore… Avec tous les poils que l’enlève, j’aurais de quoi me faire un bon pull pour l’hiver !!!
Cet article n’avait aucun intérêt, je sais, mais j’avais envie de vous faire partager, vous allez pas vous en plaindre non ?
Ps : par contre, je pense que je vais faire silence radio jusqu’à mon retour de vacances, ce qui nous pousse en septembre. Voilà, vous êtes prévenu, je reviendrai donc pour vous dire si je ferme ou pas…