Aujourd’hui c’est fête, je vous mets deux anecdotes en un seul article, alors, heureux ? Je le savais… Donc attachez vos ceintures, c’est parti pour un petit moment de légèreté, dont seul j’ai le secret ;)
Anecdote numéro 1 :
Je suis une pute, une vrai, et je ne peux même pas le nier ou le cacher, alors je l’assume. Ce constat amer je me le suis arraché lundi soir, vers minuit, tout seul chez moi, en boxer, devant mon cendrier plein (le cendrier n’a rien à voir dans l’histoire, mais bon, je fais ce que je veux de toute façon, alors si je veux vous parler de mon cendrier, je le fais, na !). Donc pourquoi en suis-je arriver là ? Et surtout comment ? Parce que le pourquoi j’ai pas trop envie de m’attarder sur la question, ça pourrait me faire déprimer !
Donc comment me suis-je enfin avouer que je n’étais qu’une pute ? * Flashback * Lundi soir, 19h21, quelque part sur le net :
Alors petite explication de texte, ce jeune homme me court après depuis près de deux mois. Je me suis refusé à lui je ne sais combien de fois, pour je ne sais quelles raisons. Mais voilà, au bout d’un moment mes envies primaires refont surface, et lundi soir j’avais envie de cul. Donc quand je l’ai vu dans ma liste de contact msn, je me suis souvenu qu’il y avait moyen d’introduire mon pénis dans son anus !
Et là, mÔssieur a un mec, mÔssieur est fidèle, mÔssieur me rappelle que j’avais qu’à me libérer plus tôt ! Non mais je suis tombé sur le seul pédé fidèle de toute la capitale en plus ? ? ? ? Ah ça non, je le veux (juste parce que je peux plus l’avoir, mais bon je le veux quand même), donc je l’aurais. Le Gauthier il a toujours ce qu’il veut, c’est mathématique, rien ne lui résiste ! ! ! !
Donc déclenchement du plan « Je te colle la trique, et tu me supplie de te baiser, sale chienne » (ouh lalala, je suis un poil vulgaire aujourd’hui ! Les enfants, sortez ! De toute façon vous n’avez rien à faire sur mon blog !). Je suis plutôt doué en plus à ce petit jeu là. Et voilà donc comment j’ai passé 30 min à expliquer à ce jeune homme pourquoi il vaut mieux qu’il s’abandonne dans mes bras ce soir, et pourquoi il ne va pas le regretter ;)
Tout y passe :
La fidélité est un concept dépassé.
Ton mec n’en saura rien.
Je suis un dieu du sexe, jamais tu prendras ton pied comme ça !
Sucer n’est pas tromper.
La vie est trop courte
…
Et ça c’est terminé par un « De toute façon tu bandes, j’arrive… ». Et le monsieur m’attendait en boxer. Voilà comment on revisite le concept de fidélité en 30 min. Bon après il m’a quand même fait des nouveautés : « Non on baise pas dans le lit, j’aurais vraiment l’impression de le tromper encore plus ». Ben voyons, c’est tellement pratique la brouette sur canapé non déplié, avec table basse dans les fesses… Puis j’ai aussi eu droit à : « je me sens coupable… hmmmm c’est bon … oh lalala que je me sens coupable … hmmm t’arrête pas ! ». A la réflexion je me demande comment j’ai réussi à garder mon sérieux…
Et là où je suis vraiment une pute ? Ben j’aurais pu le faire jouir en 3 minutes chrono, mais non, j’ai pris tout mon temps, histoire qu’il soit infidèle pendant 1h30 ! Et le pire dans l’histoire : JE SUIS TROP FIER DE MOI ! ! ! ! ! (Enfin ça ne démontre qu’une chose : Tous Des Connards !)
Anecdote numéro 2 :
Mardi matin, je sors de chez moi un poil en retard pour aller taffer. Et quand je dis un poil, j’exagère à peine, puisque je suis sorti à l’heure exacte où je suis censé arriver dans mon bureau (sachant que j’ai 20 min de bus dans le meilleur des cas !). Bref, en retard pour en retard, je me speede pas trop.
Et là, je me prends un vieux retour de bâton dans la face. La concierge était en train de faire les carreaux, elle me salue, je réponds et passe mon chemin. Puis voilà qu’elle me court après. Extrait de la conversation :
Et là elle m’explique pendant 10 min, que début août, sur les coups de 3h30 du matin, la femme du président du syndic est venue la réveiller, et l’a amené chez moi. Elles sont restées 10 min à sonner à ma porte, mais personne n’est venu ouvrir. Alors pourquoi ces braves dames ont-elles à se point manquer de respect à ma personne, et venant sonner à 3h30 du matin à ma porte ? Il semblerait que ce soir là, il y avait tellement de bruit qui s’échappé de mon appartement, que l’immeuble entier s’en est plain ! Ooooooppppsss…
Elles sont restées 10 à sonner, et nous, on n'a rien entendu ! Ce soir là il y avait Mister Big, un copain de Toulouse, Nina, 7h48, Larouquine, et moi-même dans mon petit placard, si vous ajoutez des litres de vodka, et de la musique à fond, fenêtre sur cours ouverte, ben ça fait du bruit paraît-il !
Je me suis donc retrouvé cramoisi de honte devant ma concierge. Je ne savais plus où me mettre. J’ai bredouillé un « je suis désolé, c’était exceptionnel, je ne me suis pas rendu compte, ça ne se reproduira plus ». Et je me suis éclipsé, juste après qu’elle m’ait dit « non mais moi je pensais pas que ça pouvait être vous, un petit jeune, gentil, bien élevé… enfin à ce que je pensais, mais bon je me suis trompé ! »
Cette histoire va me coûter cher en étrenne…
Anecdote numéro 1 :
Je suis une pute, une vrai, et je ne peux même pas le nier ou le cacher, alors je l’assume. Ce constat amer je me le suis arraché lundi soir, vers minuit, tout seul chez moi, en boxer, devant mon cendrier plein (le cendrier n’a rien à voir dans l’histoire, mais bon, je fais ce que je veux de toute façon, alors si je veux vous parler de mon cendrier, je le fais, na !). Donc pourquoi en suis-je arriver là ? Et surtout comment ? Parce que le pourquoi j’ai pas trop envie de m’attarder sur la question, ça pourrait me faire déprimer !
Donc comment me suis-je enfin avouer que je n’étais qu’une pute ? * Flashback * Lundi soir, 19h21, quelque part sur le net :
- Salut, tu vas bien ? On baise ce soir ?
- J’en ai très envie, mais tu comprends je ne suis plus trop célibataire !
- Sucer n’est pas tromper, suis là dans 15 min !
- Ok !
Alors petite explication de texte, ce jeune homme me court après depuis près de deux mois. Je me suis refusé à lui je ne sais combien de fois, pour je ne sais quelles raisons. Mais voilà, au bout d’un moment mes envies primaires refont surface, et lundi soir j’avais envie de cul. Donc quand je l’ai vu dans ma liste de contact msn, je me suis souvenu qu’il y avait moyen d’introduire mon pénis dans son anus !
Et là, mÔssieur a un mec, mÔssieur est fidèle, mÔssieur me rappelle que j’avais qu’à me libérer plus tôt ! Non mais je suis tombé sur le seul pédé fidèle de toute la capitale en plus ? ? ? ? Ah ça non, je le veux (juste parce que je peux plus l’avoir, mais bon je le veux quand même), donc je l’aurais. Le Gauthier il a toujours ce qu’il veut, c’est mathématique, rien ne lui résiste ! ! ! !
Donc déclenchement du plan « Je te colle la trique, et tu me supplie de te baiser, sale chienne » (ouh lalala, je suis un poil vulgaire aujourd’hui ! Les enfants, sortez ! De toute façon vous n’avez rien à faire sur mon blog !). Je suis plutôt doué en plus à ce petit jeu là. Et voilà donc comment j’ai passé 30 min à expliquer à ce jeune homme pourquoi il vaut mieux qu’il s’abandonne dans mes bras ce soir, et pourquoi il ne va pas le regretter ;)
Tout y passe :
La fidélité est un concept dépassé.
Ton mec n’en saura rien.
Je suis un dieu du sexe, jamais tu prendras ton pied comme ça !
Sucer n’est pas tromper.
La vie est trop courte
…
Et ça c’est terminé par un « De toute façon tu bandes, j’arrive… ». Et le monsieur m’attendait en boxer. Voilà comment on revisite le concept de fidélité en 30 min. Bon après il m’a quand même fait des nouveautés : « Non on baise pas dans le lit, j’aurais vraiment l’impression de le tromper encore plus ». Ben voyons, c’est tellement pratique la brouette sur canapé non déplié, avec table basse dans les fesses… Puis j’ai aussi eu droit à : « je me sens coupable… hmmmm c’est bon … oh lalala que je me sens coupable … hmmm t’arrête pas ! ». A la réflexion je me demande comment j’ai réussi à garder mon sérieux…
Et là où je suis vraiment une pute ? Ben j’aurais pu le faire jouir en 3 minutes chrono, mais non, j’ai pris tout mon temps, histoire qu’il soit infidèle pendant 1h30 ! Et le pire dans l’histoire : JE SUIS TROP FIER DE MOI ! ! ! ! ! (Enfin ça ne démontre qu’une chose : Tous Des Connards !)
Anecdote numéro 2 :
Mardi matin, je sors de chez moi un poil en retard pour aller taffer. Et quand je dis un poil, j’exagère à peine, puisque je suis sorti à l’heure exacte où je suis censé arriver dans mon bureau (sachant que j’ai 20 min de bus dans le meilleur des cas !). Bref, en retard pour en retard, je me speede pas trop.
Et là, je me prends un vieux retour de bâton dans la face. La concierge était en train de faire les carreaux, elle me salue, je réponds et passe mon chemin. Puis voilà qu’elle me court après. Extrait de la conversation :
- Vous êtes parti en vacances cet été ?
- Oui.
- Vous avez prêté votre appartement à quelqu’un ?
- Non.
- Vous êtes sûr ?
- Oui.
- Non mais quelqu’un à vécu chez vous pendant que vous n’étiez pas là !
- Mais non, je n’ai prêté mon appartement à personne, il y a un problème ?
Et là elle m’explique pendant 10 min, que début août, sur les coups de 3h30 du matin, la femme du président du syndic est venue la réveiller, et l’a amené chez moi. Elles sont restées 10 min à sonner à ma porte, mais personne n’est venu ouvrir. Alors pourquoi ces braves dames ont-elles à se point manquer de respect à ma personne, et venant sonner à 3h30 du matin à ma porte ? Il semblerait que ce soir là, il y avait tellement de bruit qui s’échappé de mon appartement, que l’immeuble entier s’en est plain ! Ooooooppppsss…
Elles sont restées 10 à sonner, et nous, on n'a rien entendu ! Ce soir là il y avait Mister Big, un copain de Toulouse, Nina, 7h48, Larouquine, et moi-même dans mon petit placard, si vous ajoutez des litres de vodka, et de la musique à fond, fenêtre sur cours ouverte, ben ça fait du bruit paraît-il !
Je me suis donc retrouvé cramoisi de honte devant ma concierge. Je ne savais plus où me mettre. J’ai bredouillé un « je suis désolé, c’était exceptionnel, je ne me suis pas rendu compte, ça ne se reproduira plus ». Et je me suis éclipsé, juste après qu’elle m’ait dit « non mais moi je pensais pas que ça pouvait être vous, un petit jeune, gentil, bien élevé… enfin à ce que je pensais, mais bon je me suis trompé ! »
Cette histoire va me coûter cher en étrenne…
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