(article publié chez les vingtenaires)
Oui ce sont bien les paroles de l’indémodable tube disco par excellence : I will survive de Gloria Gaynor. Pourquoi je vous les balance ici ? Je vais essayer d’être court et surtout compréhensible (pour autant que je puisse l’être). J’adore cette chanson. Elle ne représente pas vraiment quelque chose pour moi, c’est juste que je la trouve gaie et entraînante. Ça tombe bien, c’est le but premier du disco.
Je ne l’écoute pas souvent. La plupart du temps, je la mets en soirée quand j’ai bien bu pour hurler un bon coup, ou je me déhanche dessus dans une boite minable (une boite qui passe encore du Gloria Gaynor ça existe aussi à Paris, faut pas croire… pffff). Bref, du fun, encore du fun, toujours du fun. Ça tombe bien je suis quelqu’un de fun.
Nina ma la chante depuis une semaine sur MSN pour me faire rire. Et je l’écoute en boucle dès que je suis devant mon mac. Pourquoi ai-je un tel besoin de disco débile en ce moment ? Non pas parce que je suis une grosse tafiole dénuée de goût musical (Manu Katché si tu nous regardes : des fleurs !). Non j’ai juste besoin de me remonter un peu le moral.
Dimanche soir, j’ai pris un TGV lancé à pleine vitesse dans ma gueule. La sale mauvaise nouvelle, celle que je ne pouvais pas sentir venir. Et depuis j’accuse un peu le coup. J’aurais voulu vous amener ça de façon plus tendre peut-être plus littéraire aussi. Mais j’en ai pas du tout l’envie, et encore moins la force. Je suis vidé de toute consistance (déjà qu’à la base c’est pas la joie !).
Pour planter le décor : je couche avec un inconnu, la capote explose, je m’en rends compte après le coït, il flippe, je ne comprends pas pourquoi. Je lui dis que je suis séronégatif, il flippe toujours. Il me dit qu’il est séropositif, je comprends pourquoi il flippe. Et moi ? Ben je suis sous trithérapie préventive depuis le début de la semaine. Alors je n’ai qu’une chose à dire à ce fucking virus : I WILL SURVIVE !
Ps : je sais que ça ne se fait pas, mais j’en parle sur mon blog. Je ne voulais pas faire un grotesque copié collé de mes post de la semaine. Vous méritez mieux que ça. Alors en attendant que je sois capable de reprendre sur les deux fronts, je vous invite à lire ce que j’ai publié sur mon blog. Promis la semaine prochaine je vous consacre plus de temps.
At first I was afraid
I was petrified
Kept thinkin' I could never live without you by my side
But then I spent so many nights
Thinkin' how you did me wrong
And I grew strong
I learned how to get along
And so you're back from outer space
I just walked in to find you here with that sad look upon your face
I should have changed that stupid lock
I would have made you leave your key
If I'd have known for just one second you'd be back to bother me
Go on now, go
walk out the door
Just turn around now
You're not welcome anymore
Weren't you the one who tried to hurt me with goodbye
Did I crumble
Did you think I'd lay down and die?
Oh no not I
I will survive
Oh, as long as I know how to love I know I'll stay alive
I've got all my life to live
I've got all my love to give
And I'll survive
I will survive
Hey hey
It took all the strength I had not to fall apart
Kept trying' hard to mend the pieces of my broken heart
And I spent oh so many nights
Just feeling sorry for myself
I used to cry
But now I hold my head up high
And you see in me
Somebody new
I'm not that chained up little person still in love with you
And so you feel like droppin' in
And just expect me to be free
But I'm savin' all my lovin' for someone who's lovin' me
Oui ce sont bien les paroles de l’indémodable tube disco par excellence : I will survive de Gloria Gaynor. Pourquoi je vous les balance ici ? Je vais essayer d’être court et surtout compréhensible (pour autant que je puisse l’être). J’adore cette chanson. Elle ne représente pas vraiment quelque chose pour moi, c’est juste que je la trouve gaie et entraînante. Ça tombe bien, c’est le but premier du disco.
Je ne l’écoute pas souvent. La plupart du temps, je la mets en soirée quand j’ai bien bu pour hurler un bon coup, ou je me déhanche dessus dans une boite minable (une boite qui passe encore du Gloria Gaynor ça existe aussi à Paris, faut pas croire… pffff). Bref, du fun, encore du fun, toujours du fun. Ça tombe bien je suis quelqu’un de fun.
Nina ma la chante depuis une semaine sur MSN pour me faire rire. Et je l’écoute en boucle dès que je suis devant mon mac. Pourquoi ai-je un tel besoin de disco débile en ce moment ? Non pas parce que je suis une grosse tafiole dénuée de goût musical (Manu Katché si tu nous regardes : des fleurs !). Non j’ai juste besoin de me remonter un peu le moral.
Dimanche soir, j’ai pris un TGV lancé à pleine vitesse dans ma gueule. La sale mauvaise nouvelle, celle que je ne pouvais pas sentir venir. Et depuis j’accuse un peu le coup. J’aurais voulu vous amener ça de façon plus tendre peut-être plus littéraire aussi. Mais j’en ai pas du tout l’envie, et encore moins la force. Je suis vidé de toute consistance (déjà qu’à la base c’est pas la joie !).
Pour planter le décor : je couche avec un inconnu, la capote explose, je m’en rends compte après le coït, il flippe, je ne comprends pas pourquoi. Je lui dis que je suis séronégatif, il flippe toujours. Il me dit qu’il est séropositif, je comprends pourquoi il flippe. Et moi ? Ben je suis sous trithérapie préventive depuis le début de la semaine. Alors je n’ai qu’une chose à dire à ce fucking virus : I WILL SURVIVE !
Ps : je sais que ça ne se fait pas, mais j’en parle sur mon blog. Je ne voulais pas faire un grotesque copié collé de mes post de la semaine. Vous méritez mieux que ça. Alors en attendant que je sois capable de reprendre sur les deux fronts, je vous invite à lire ce que j’ai publié sur mon blog. Promis la semaine prochaine je vous consacre plus de temps.
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