Je vous passe mon réveillon en famille dans le Cantal, il n’y a rien à raconter si ce n’est que je suis une barrique pleine de gras. Je ne pensais pas que je pouvais grossir à se point sans imploser sous mon propre poids !
Bref, bref, le jour de Noël on rentre à Toulouse, mon frère étant censé travailler le lendemain (ce qu’il s’avèrera être faux). On a donc fêter ça le lundi midi et le lundi soir chez moi. Noël 24h à l’avance, dans un monde qui va toujours plus vite, c’est flippant.
Le mardi je me retrouve donc en overdose de gras, allongé sur mon lit d’adolescent, que faire ? Je décide de sortir… Ben vi rien de tel que de transpirer sur de la tektonik pour perdre du poids (oui parce qu’en fait à Toulouse il faut être tektonik, sinon t’es complètement has been ! Le rêve quoi !).
J’envoie deux ou trois textos pour essayer de rassembler les troupes. Malheureusement, le jour de noël à 19h, ya peu de personnes qui sont enclin à bouger leur cul ! Sniff… Heureusement, Zaza est là.
Pour ceux qui ne connaissent pas Zaza, elle fut ma meilleure amie pendant des années, avant qu’on se dispute pour des histoires futiles, comme seules les tafioles savent les inventer. Depuis que je suis parisien, on reste en contact et on se voit quand je rentre à Toulouse. Zaza n’est pas son vrai prénom, si vous trouvez la référence, vous comprendrez mieux pourquoi on s’adore !
Donc nous voilà deux pauvres tafioles à débarquer chez une troisième (lecteur de mon blog depuis longtemps qui ne s’était jamais manifesté, et qui est complètement fan de ma personne ! Comment pourrait-il en être autrement de toute façon !). On boit, on fume, on dit du mal, et après avoir laisser un cadavre (la tafiole qui nous recevait chez elle) Zaza et moi nous envolons vers le Shangai.
Ceux qui ne sont pas Toulousains et qui ne sortaient pas au Shang’ en 1999 ne peuvent pas comprendre ce qui va suivre. C’était la soirée la plus drôle que j’ai passée depuis longtemps… Il y avait de la pauvresse à tous les étages, de la moche, de la laide, de la pauvre, bref du déchet ! Et en guest star ? Le tadem de choc !
Ça faisait longtemps qu’on avait pas autant dit du mal en si peu de temps. Je devais être particulièrement saoul, parce que j’étais persuadé d’être discret. Et quand j’ai dit au barman « mais on va t’aider à faire ton chiffre en faisant picoler les bourrins au bout » lesdits bourrins m’ayant entendu, ben ils nous ont pas offert de verres dit donc ! Je comprends pas pourquoi… De même quand j’ai discrètement fait remarquer au même barman que le mec à l’autre bout avait 12 ans, ledit mec m’a apporté sa carte d’identité, il avait 19 ans…
Après j’ai un peu perdu le fil, on s’est fait offrir à boire, on a assisté à un cours de tektonik (encore et toujours), on a hurlé « si vous êtes laides, la preuve, vous vous tapez un 10 au laidronomètre ! ». Bref ça ne fait rire que nous, mais dieu que c’est bon… En gros un Noël magique comme on en fait plus !
On rend les armes vers 5h et on file dormir chez moi (la zaza étant campagnarde, je l’héberge). Le lendemain fut aussi compliqué que le samedi précédant, et je me promets de plus sortir jusqu’à l’anniversaire de ma maman le samedi qui vient.
On y croit ?
On y croit…
La suite plus tard.
Bref, bref, le jour de Noël on rentre à Toulouse, mon frère étant censé travailler le lendemain (ce qu’il s’avèrera être faux). On a donc fêter ça le lundi midi et le lundi soir chez moi. Noël 24h à l’avance, dans un monde qui va toujours plus vite, c’est flippant.
Le mardi je me retrouve donc en overdose de gras, allongé sur mon lit d’adolescent, que faire ? Je décide de sortir… Ben vi rien de tel que de transpirer sur de la tektonik pour perdre du poids (oui parce qu’en fait à Toulouse il faut être tektonik, sinon t’es complètement has been ! Le rêve quoi !).
J’envoie deux ou trois textos pour essayer de rassembler les troupes. Malheureusement, le jour de noël à 19h, ya peu de personnes qui sont enclin à bouger leur cul ! Sniff… Heureusement, Zaza est là.
Pour ceux qui ne connaissent pas Zaza, elle fut ma meilleure amie pendant des années, avant qu’on se dispute pour des histoires futiles, comme seules les tafioles savent les inventer. Depuis que je suis parisien, on reste en contact et on se voit quand je rentre à Toulouse. Zaza n’est pas son vrai prénom, si vous trouvez la référence, vous comprendrez mieux pourquoi on s’adore !
Donc nous voilà deux pauvres tafioles à débarquer chez une troisième (lecteur de mon blog depuis longtemps qui ne s’était jamais manifesté, et qui est complètement fan de ma personne ! Comment pourrait-il en être autrement de toute façon !). On boit, on fume, on dit du mal, et après avoir laisser un cadavre (la tafiole qui nous recevait chez elle) Zaza et moi nous envolons vers le Shangai.
Ceux qui ne sont pas Toulousains et qui ne sortaient pas au Shang’ en 1999 ne peuvent pas comprendre ce qui va suivre. C’était la soirée la plus drôle que j’ai passée depuis longtemps… Il y avait de la pauvresse à tous les étages, de la moche, de la laide, de la pauvre, bref du déchet ! Et en guest star ? Le tadem de choc !
Ça faisait longtemps qu’on avait pas autant dit du mal en si peu de temps. Je devais être particulièrement saoul, parce que j’étais persuadé d’être discret. Et quand j’ai dit au barman « mais on va t’aider à faire ton chiffre en faisant picoler les bourrins au bout » lesdits bourrins m’ayant entendu, ben ils nous ont pas offert de verres dit donc ! Je comprends pas pourquoi… De même quand j’ai discrètement fait remarquer au même barman que le mec à l’autre bout avait 12 ans, ledit mec m’a apporté sa carte d’identité, il avait 19 ans…
Après j’ai un peu perdu le fil, on s’est fait offrir à boire, on a assisté à un cours de tektonik (encore et toujours), on a hurlé « si vous êtes laides, la preuve, vous vous tapez un 10 au laidronomètre ! ». Bref ça ne fait rire que nous, mais dieu que c’est bon… En gros un Noël magique comme on en fait plus !
On rend les armes vers 5h et on file dormir chez moi (la zaza étant campagnarde, je l’héberge). Le lendemain fut aussi compliqué que le samedi précédant, et je me promets de plus sortir jusqu’à l’anniversaire de ma maman le samedi qui vient.
On y croit ?
On y croit…
La suite plus tard.
Ps c'est le 300ème message sur ce blog en un an d'existence, merci à tous de me lire toujours plus nombreux, toujours plus beaux, toujours plus gentils! Merci, merci, merci...
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