Rho le jeu de mot de la mort qui tue sa race de sa mère la pute en string ! Ouais je sais, suis trop fort ! Donc dans la série, je vous raconte ma vie avec une semaine de retard, la soirée de mercredi dernier (donc le 26 décembre pour ceux qui ne suivent pas !).
Après la nuit en boite à picoler comme des truies avec mon amie Zaza, je décide d’être sage. Donc je me cherche un gentil plan cul pour m’occuper (oui j’adore baiser en descente d’alcool, ne me demandez pas pourquoi). Je fais mon marché, j’ai le choix entre 4 garçons (j’adore ma vie).
Candidat numéro 1 : à peine majeur, vit dans la lointaine banlieue (mais pas du même coté que moi), chez ses parents, ne peut pas recevoir donc, me propose de se retrouver sur l’air de jeux de son village pour un plan « fourrets ». Mouais… Signes particuliers : super beau, super gentil, mais adepte des plans uro et du bareback…
Candidat numéro 2 : je ne veux même pas savoir s’il est majeur, vit chez ses parents mais dans Toulouse, pareil que le précédant mais il me propose un plan voiture sur un parking. Signe particulier : chaude comme une baraque à frite, je cite « va falloir me baiser au moins trois fois avant que je sois calmé là ! », adepte du poppers et de la défonce dans toutes ces définitions, bref je l’aime déjà…
Candidat numéro 3 : passive de mon âge qui cherche un troisième pour son couple, mais comme le troisième n’est pas là et qu’elle a le feu au cul, elle me propose un plan sauna. Pourquoi pas chez elle ? « Parce que si je fais ça dans le lit conjugal sans lui, là c’est vraiment comme si je le trompais tu vois ! ». Mouais… Toujours ces définitions personnelles de la fidélité, c’est usant… Signe particulier : aucun, il est juste insipide, et ça sent le « plan hygiénique » de samedi dernier…
Candidat numéro 4 : une passive de mon âge qui peut recevoir et me proposer de baiser dans un vrai lit !!!! Signe particulier : pas super en forme donc me propose un plan suce plutôt que tout le reste, il a une bite énorme et moi les bites énormes ça m’émeut (oui je suis une passive refoulée, je sais !).
Mon choix s’arrête sur le candidat numéro 4, une fois convenu de l’heure et du lieu de rdv, je reçois un message d’un prétendant. Il est marrant, on parle de tout et de rien, je me rends compte que je suis super à la bourre pour mon plan cul, je lui en parle, et là il me répond « dommage que tu sois toi aussi actif, sinon je t’aurais dit d’annuler et de venir boire une vodka à la maison, quoique ça peut être marrant un plan soft aussi ». Ni une ni deux, j’annule le premier et je file boire une vodka avec l’actif…
Bon ok c’est pas sympa pour l’autre, mais il est vraiment beau le challenger, et puis j’ai juste envie de passer un bon moment, pas forcément super super sexe, mais aussi un peu complice, et j’ai vraiment accroché avec le second.
Me voilà donc dans un superbe appartement en plein centre de Toulouse à boire de la vokda et à fumer des joints avec mec trop mignon. Un peu plus vieux que moi, mais il dégage quelque chose de super sexuel. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais il me retourne la culotte !
On parle politique, religion, communauté, de Paris et de Toulouse (il a vécu aux deux endroits), bref le courant passe. Puis au milieu de rien on se met à parler de nos amis. Et au bout d’un moment, on se rend compte qu’on a beaucoup d’amis en commun. Mais genre trop pour que ça soit crédible quoi ! En gros il est arrivé à Toulouse le mois où je suis parti à Paris, et il fréquente tous les gens que je fréquentais quand j’étais là-bas.
Le choc !
Mais le mieux reste à venir, j’apprends qu’il est en couple. Avec quelqu’un que je connais trèèèèèèèès bien, et que donc s’il le trompe ce soir avec moi, il a peur que ça se sache… Rho le pauvre ti nounou, il a peur de moi, c’est trop meugnon ! Je lui ai répondu « de toute façon ce qui compte c’est pas ce qu’on va faire ce soir, mais ce que je vais envoyer comme texto en partant d’ici ! ». (traduction : je te ruine si je veux quoi que tu fasses, quoique tu dises )
C’est là que dans les films américains le mari volage étrangle sa maîtresse pour qu’elle ne parle pas ! Heureusement pour moi nous ne sommes pas dans un film américain. On continue à boire et à parler, puis je décide de partir gentiment. Il me regarde et me dit :
J’ai en effet promis de ne rien dire de cette rencontre… Mais j’ai rien promis quant à l’écrire (vous avez dit « pute » ? Oui et alors !). Je finis par refuser et me sauve. Oui si vous connaissiez les protagonistes, vous sauriez que j’aurais payé de ma vie cette fellation…
Et me voilà donc sur le trottoir à deux heures du mat’ avec quand même une énoooooooooooooorme envie de bite. Mais un truc comme tu peux te mettre dans cet état que trois fois dans ta vie, parce que plus ton cœur il lâche (ou tu finis par violer tout ce qui bouge, ou pas d’ailleurs). Je pars donc en courant au shang’ pour me soulager dans la première bouche amie qui passera par là…
Sur le trajet, je consulte mon répondeur, il y a un message du candidat numéro 2 (celui que même pas en rêve il est majeur). Il me dit qu’il va au shang’, ben voilà, je vais baiser ! La suite fut relativement rapide. J’arrive, je prends un verre puis deux, puis je lui demande sa carte d’identité pour être sûr (il est né en 1989, il est donc majeur, mais merde en 89 j’étais en CE2 moi !!!!!)
Je lui propose d’aller dans la backroom (oui ben j’ai faim quoi), il refuse, je lui dis que je pars, il me demande de le ramener. Une fois dans la voiture, il me fait stopper au milieu d’une avenue, je ne saisis pas trop pourquoi, il sort en courant de la voiture, et reviens 2 minutes plus tard en brandissant fièrement une boite de capotes. Il me regarde avec ses grands yeux et me dit « trouve un endroit tranquille, j’ai BESOIN que tu me sautes de suite ! ». Je suis faible, je bande rien qu’en voyant la boite de capotes, j’accepte donc !
Ça fait un peu nympho non ? En tout cas on repassera pour le romantisme… Je roule jusqu’à la bordure de la ville, il joue déjà avec mon levier (oui c’est nul comme phrase, mais j’avais envie de la caser quelque part), et me faire sucer à un feu rouge j’en avais pas particulièrement rêvé, mais après coup je dois dire que c’est plutôt excitant… On trouve le parking adéquat, et on se met en position ! C’est la première fois de ma vie que je baise dans une voiture, celle de ma mère de surcroît !
On fait ce qu’on peut en inclinant les sièges. Du fait que je sois le plus grand, je m’allonge et lui il s’empale comme il peut ! Au bout d’une demi-heure, je peux dire que les amortisseurs de la twingo c’est du solide. On ouvre les vitres pour faire partir la buée (titanic quand tu nous tiens). Je jette la capote nouée sur le parking en souriant… Ben vi, si jamais le parking est vidéo surveillé, qu’ils sachent au moins que j’ai réellement pris mon pied ! Et puis ils pourront toujours faire un test ADN pour me retrouver et me coller le pv (ah on me dit dans l’oreillette que la police a autre chose à foutre, tant pis).
Je rentre chez moi à 7h, encore, mais soulagé et épanoui ! J’ai baisé dans une voiture pour la première fois de ma vie, c’était plutôt sympa, et en plus il était effectivement majeur… Bon après coup, je me suis rendu compte que c’était la première fois que je baisais avec mes pompes et mon jean baissé aux chevilles… Glam’ non ?
Après la nuit en boite à picoler comme des truies avec mon amie Zaza, je décide d’être sage. Donc je me cherche un gentil plan cul pour m’occuper (oui j’adore baiser en descente d’alcool, ne me demandez pas pourquoi). Je fais mon marché, j’ai le choix entre 4 garçons (j’adore ma vie).
Candidat numéro 1 : à peine majeur, vit dans la lointaine banlieue (mais pas du même coté que moi), chez ses parents, ne peut pas recevoir donc, me propose de se retrouver sur l’air de jeux de son village pour un plan « fourrets ». Mouais… Signes particuliers : super beau, super gentil, mais adepte des plans uro et du bareback…
Candidat numéro 2 : je ne veux même pas savoir s’il est majeur, vit chez ses parents mais dans Toulouse, pareil que le précédant mais il me propose un plan voiture sur un parking. Signe particulier : chaude comme une baraque à frite, je cite « va falloir me baiser au moins trois fois avant que je sois calmé là ! », adepte du poppers et de la défonce dans toutes ces définitions, bref je l’aime déjà…
Candidat numéro 3 : passive de mon âge qui cherche un troisième pour son couple, mais comme le troisième n’est pas là et qu’elle a le feu au cul, elle me propose un plan sauna. Pourquoi pas chez elle ? « Parce que si je fais ça dans le lit conjugal sans lui, là c’est vraiment comme si je le trompais tu vois ! ». Mouais… Toujours ces définitions personnelles de la fidélité, c’est usant… Signe particulier : aucun, il est juste insipide, et ça sent le « plan hygiénique » de samedi dernier…
Candidat numéro 4 : une passive de mon âge qui peut recevoir et me proposer de baiser dans un vrai lit !!!! Signe particulier : pas super en forme donc me propose un plan suce plutôt que tout le reste, il a une bite énorme et moi les bites énormes ça m’émeut (oui je suis une passive refoulée, je sais !).
Mon choix s’arrête sur le candidat numéro 4, une fois convenu de l’heure et du lieu de rdv, je reçois un message d’un prétendant. Il est marrant, on parle de tout et de rien, je me rends compte que je suis super à la bourre pour mon plan cul, je lui en parle, et là il me répond « dommage que tu sois toi aussi actif, sinon je t’aurais dit d’annuler et de venir boire une vodka à la maison, quoique ça peut être marrant un plan soft aussi ». Ni une ni deux, j’annule le premier et je file boire une vodka avec l’actif…
Bon ok c’est pas sympa pour l’autre, mais il est vraiment beau le challenger, et puis j’ai juste envie de passer un bon moment, pas forcément super super sexe, mais aussi un peu complice, et j’ai vraiment accroché avec le second.
Me voilà donc dans un superbe appartement en plein centre de Toulouse à boire de la vokda et à fumer des joints avec mec trop mignon. Un peu plus vieux que moi, mais il dégage quelque chose de super sexuel. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais il me retourne la culotte !
On parle politique, religion, communauté, de Paris et de Toulouse (il a vécu aux deux endroits), bref le courant passe. Puis au milieu de rien on se met à parler de nos amis. Et au bout d’un moment, on se rend compte qu’on a beaucoup d’amis en commun. Mais genre trop pour que ça soit crédible quoi ! En gros il est arrivé à Toulouse le mois où je suis parti à Paris, et il fréquente tous les gens que je fréquentais quand j’étais là-bas.
Le choc !
Mais le mieux reste à venir, j’apprends qu’il est en couple. Avec quelqu’un que je connais trèèèèèèèès bien, et que donc s’il le trompe ce soir avec moi, il a peur que ça se sache… Rho le pauvre ti nounou, il a peur de moi, c’est trop meugnon ! Je lui ai répondu « de toute façon ce qui compte c’est pas ce qu’on va faire ce soir, mais ce que je vais envoyer comme texto en partant d’ici ! ». (traduction : je te ruine si je veux quoi que tu fasses, quoique tu dises )
C’est là que dans les films américains le mari volage étrangle sa maîtresse pour qu’elle ne parle pas ! Heureusement pour moi nous ne sommes pas dans un film américain. On continue à boire et à parler, puis je décide de partir gentiment. Il me regarde et me dit :
- Mais tu peux rester dormir ici, il ne se passera rien, mais tu as bu donc je préfère pas que tu conduises !
- Primo, je suis capable de conduire (malheureusement c’est toujours ce que je dis quand je bois), deusio, si je reste dormir dans TON lit, je te viole…
- Écoute il se passera ce qu’il se passera, mais je préfère que tu restes !
- … tu te rends compte de ce que tu viens de dire là ?
- Tu tiendras ta langue j’en suis sûr !
J’ai en effet promis de ne rien dire de cette rencontre… Mais j’ai rien promis quant à l’écrire (vous avez dit « pute » ? Oui et alors !). Je finis par refuser et me sauve. Oui si vous connaissiez les protagonistes, vous sauriez que j’aurais payé de ma vie cette fellation…
Et me voilà donc sur le trottoir à deux heures du mat’ avec quand même une énoooooooooooooorme envie de bite. Mais un truc comme tu peux te mettre dans cet état que trois fois dans ta vie, parce que plus ton cœur il lâche (ou tu finis par violer tout ce qui bouge, ou pas d’ailleurs). Je pars donc en courant au shang’ pour me soulager dans la première bouche amie qui passera par là…
Sur le trajet, je consulte mon répondeur, il y a un message du candidat numéro 2 (celui que même pas en rêve il est majeur). Il me dit qu’il va au shang’, ben voilà, je vais baiser ! La suite fut relativement rapide. J’arrive, je prends un verre puis deux, puis je lui demande sa carte d’identité pour être sûr (il est né en 1989, il est donc majeur, mais merde en 89 j’étais en CE2 moi !!!!!)
Je lui propose d’aller dans la backroom (oui ben j’ai faim quoi), il refuse, je lui dis que je pars, il me demande de le ramener. Une fois dans la voiture, il me fait stopper au milieu d’une avenue, je ne saisis pas trop pourquoi, il sort en courant de la voiture, et reviens 2 minutes plus tard en brandissant fièrement une boite de capotes. Il me regarde avec ses grands yeux et me dit « trouve un endroit tranquille, j’ai BESOIN que tu me sautes de suite ! ». Je suis faible, je bande rien qu’en voyant la boite de capotes, j’accepte donc !
Ça fait un peu nympho non ? En tout cas on repassera pour le romantisme… Je roule jusqu’à la bordure de la ville, il joue déjà avec mon levier (oui c’est nul comme phrase, mais j’avais envie de la caser quelque part), et me faire sucer à un feu rouge j’en avais pas particulièrement rêvé, mais après coup je dois dire que c’est plutôt excitant… On trouve le parking adéquat, et on se met en position ! C’est la première fois de ma vie que je baise dans une voiture, celle de ma mère de surcroît !
On fait ce qu’on peut en inclinant les sièges. Du fait que je sois le plus grand, je m’allonge et lui il s’empale comme il peut ! Au bout d’une demi-heure, je peux dire que les amortisseurs de la twingo c’est du solide. On ouvre les vitres pour faire partir la buée (titanic quand tu nous tiens). Je jette la capote nouée sur le parking en souriant… Ben vi, si jamais le parking est vidéo surveillé, qu’ils sachent au moins que j’ai réellement pris mon pied ! Et puis ils pourront toujours faire un test ADN pour me retrouver et me coller le pv (ah on me dit dans l’oreillette que la police a autre chose à foutre, tant pis).
Je rentre chez moi à 7h, encore, mais soulagé et épanoui ! J’ai baisé dans une voiture pour la première fois de ma vie, c’était plutôt sympa, et en plus il était effectivement majeur… Bon après coup, je me suis rendu compte que c’était la première fois que je baisais avec mes pompes et mon jean baissé aux chevilles… Glam’ non ?
9 commentaires:
ça fait plaisir des moments romantiques, tendres, et amoureux comme ceux-là ! looooooove.
des posts comme on les aime :)
ça me fait penser qu'il y a longtemps que j'ai pas baisé moi :)
A propos, t'as oublié la fameuse boîte de capotes chez moi le lendemain...
Pour bien commencer l'année, on retiendra déjà cette phrase anthologique : "il a une bite énorme et moi les bites énormes ça m’émeut". J'adore! :D
et encore une publicité déguisée pour Twingo !
De mon point de vue, c'est ca la magie de Noel ^^
tu as de drôles de cadeaux de noël! lol
so glam' ^^
je dois dire que le compte rendu de la soirée vodka est presque exact...ce qui me ravit et/ou m'inquiète pour le reste de tes aventures
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