La suite d'hier...
Gauthier, tu es drôle.
De passage à Toulouse après mon périple perpignanais, je sors avec Océane. On se ruine bien la tronche, mais sans trop s’en rendre compte. En fait, on a changé d’endroit 3 fois dans la soirée, et à chaque fois il fallait bien 30 minutes pour trouver le club.
Moi, je sens quand je commence à être trop bourré, je m’arrête avant de perdre toute notion de temps et d’espace. Mais là, je sais pas pourquoi, je l’ai pas vue venir. Je me suis retrouvé dans le 3ème endroit de la soirée sans savoir trop pourquoi (ah si, j’ai proposé qu’on aille là pour rire ! qu’est ce que j’ai pas dit…), et je n’en ai aucun souvenir.
Tout ce que je sais c’est que le lendemain, je me suis réveillé chez mes parents avec un mec dans mon lit. Il était moche, mais moche, une horreur… Et devant l’absence de sous-vêtement et la présence d’accessoire tels capote et gel, j’ai supputé, à raison, qu’on avait copulé !
C’te honte !
Je le fous dehors, non sans vérifier au passage qu’il n’y a aucun membre de ma famille dans les parages, on est quand même dimanche, et ils sont censés être tous là ! Mais la chance me sourit des fois, et il a réussi à sortir sans croiser personne !
Océane m’appelle le lendemain et me dit « au fait, bravo, t’es parti avec le plus moche de la soirée, une performance à souligner !!! ». Merci connasse, ça t’aurait fait mal au cul de m’en empêcher ? Elle répondra juste que c’était trop drôle pour qu’elle puisse envisager de se priver de ma tronche après coup !
Elle décide de me raconter la soirée, je suis abasourdi, je me souviens de rien, genre on me raconte la vie de quelqu’un d’autre. Ça faisait longtemps que ça m’était pas arrivé ! Surtout que normalement, si je suis trop bourré, je tombe, mais là non, j’ai parlé, dansé, fait des blagues, et au final j’ai fait rire tout le monde.
Mais attention, comme Océane le précise « on se moquait pas, non tu étais juste trop drôle dans le bon sens du terme, tu as tué tout le monde ! ».
De toute façon, je me souviens pas, donc elle peut bien raconter ce qu’elle veut !
Le week-end suivant, comme je suis un warrior, je décide d’y retourner. Et bien figurez-vous qu’elle avait raison, tous les gens que j’ai croisé m’ont dit la même chose « non mais de toute façon, la semaine dernière, tu étais juste trop drôle ! ».
Je devrais me reconvertir…
La suite et fin demain...
Gauthier, tu es drôle.
De passage à Toulouse après mon périple perpignanais, je sors avec Océane. On se ruine bien la tronche, mais sans trop s’en rendre compte. En fait, on a changé d’endroit 3 fois dans la soirée, et à chaque fois il fallait bien 30 minutes pour trouver le club.
Moi, je sens quand je commence à être trop bourré, je m’arrête avant de perdre toute notion de temps et d’espace. Mais là, je sais pas pourquoi, je l’ai pas vue venir. Je me suis retrouvé dans le 3ème endroit de la soirée sans savoir trop pourquoi (ah si, j’ai proposé qu’on aille là pour rire ! qu’est ce que j’ai pas dit…), et je n’en ai aucun souvenir.
Tout ce que je sais c’est que le lendemain, je me suis réveillé chez mes parents avec un mec dans mon lit. Il était moche, mais moche, une horreur… Et devant l’absence de sous-vêtement et la présence d’accessoire tels capote et gel, j’ai supputé, à raison, qu’on avait copulé !
C’te honte !
Je le fous dehors, non sans vérifier au passage qu’il n’y a aucun membre de ma famille dans les parages, on est quand même dimanche, et ils sont censés être tous là ! Mais la chance me sourit des fois, et il a réussi à sortir sans croiser personne !
Océane m’appelle le lendemain et me dit « au fait, bravo, t’es parti avec le plus moche de la soirée, une performance à souligner !!! ». Merci connasse, ça t’aurait fait mal au cul de m’en empêcher ? Elle répondra juste que c’était trop drôle pour qu’elle puisse envisager de se priver de ma tronche après coup !
Elle décide de me raconter la soirée, je suis abasourdi, je me souviens de rien, genre on me raconte la vie de quelqu’un d’autre. Ça faisait longtemps que ça m’était pas arrivé ! Surtout que normalement, si je suis trop bourré, je tombe, mais là non, j’ai parlé, dansé, fait des blagues, et au final j’ai fait rire tout le monde.
Mais attention, comme Océane le précise « on se moquait pas, non tu étais juste trop drôle dans le bon sens du terme, tu as tué tout le monde ! ».
De toute façon, je me souviens pas, donc elle peut bien raconter ce qu’elle veut !
Le week-end suivant, comme je suis un warrior, je décide d’y retourner. Et bien figurez-vous qu’elle avait raison, tous les gens que j’ai croisé m’ont dit la même chose « non mais de toute façon, la semaine dernière, tu étais juste trop drôle ! ».
Je devrais me reconvertir…
La suite et fin demain...
4 commentaires:
Tu trouves pas que ça ressembles au GHB ?
Siegfried, toi, t'as jamais passé une soirée avec nous, ça se sent... ^^
Non, c'est l'effet "Toulouse"... C'est un rituel immuable que d'appeler les autres le lendemain pour demander "heu... et sinon, j'ai fait quoi hier soir?"... Pas besoin de drogues pour ça! ^^
Avoue, mon Gauthier, ça te manquait, hein? ;)
Moi, ce qui m'a manqué c'est d'autres points de vue de la soirée, parce que, j'avais quelques trou aussi qui sont passés à la postérité...
Oui MisterBig, ça me manquait ce genre de soirées...
C'était au niveau des soirées de l'été 2002, du printemps 2004 ou encore de l'après Picotin...
^^
(là c'est une private joke que seuls des vieux comme nous peuvent comprendre...)
Anonyme : gné?
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