Bon, j’ai bien glandé pendant mes vacances, il faut donc que je vous raconte un peu, et surtout que je vous parle de ma vie à venir. Attention, ça risque d’être un poil long (ou alors je vais en faire plusieurs articles, je sais pas encore).
On va essayer de faire des catégories, histoire de pas trop s’éparpiller…
Piqûre de rappel : fin d’année scolaire et début de vacances.
A la fin de l’année, j’étais assez nostalgique de mes gamins. Finalement ça c’est plutôt bien passé ce petit stage dans la maison éducnat’, et je me suis senti tout bizarre quand je me suis rendu compte que ça me plaisait bien !
Mais j’en suis vite revenu, si j’ai autant apprécié ces 4 mois de taff, ça vient surtout du fait que, premièrement, je n’avais pas bosser depuis 1 an, et oui, au bout d’un moment, le boulot ça vous manque (essayez, vous verrez), et deuxièmement, je savais que c’était pour 4 mois maximum, et qu’après je devrais trouver autre chose, peut-être un taff pour lequel j’ai vraiment fait les études adéquat (genre dans la politique quoi, soyons fous !).
Moralité, arrivé début juillet, je me suis pris un retour de bâton mémorable. Déjà, ça fait un petit moment que je déprimais grave avant de retourner au taff, et en fin de compte je n’ai jamais arrêté, je suis juste passé en mode euphorie. Et qu’est ce qui vient après l’euphorie ? Ben la chute…
Et la chute fut relativement mémorable.
Pour éviter de me jeter par la fenêtre, je suis parti me ressourcer dans ma famille (Cantal et Toulouse), ça m’a fait du bien, ça y a pas à dire.
Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin, et comme je me suis bien mis la tête sous le sable pendant 4 mois, ben je me suis retrouvé face à des choses difficilement gérables au final. Mais ça mérite une autre catégorie.
Débauche mon amour, je me vautre en ton sein…
La semaine de mon retour à Paris fin juillet, je suis sorti du mardi au samedi non-stop. Je suis resté bourré et perché pendant près de 6 jours au final. Et 6 jours de défonce, ben ça sous-entend rien de bien bon.
Je me suis retrouvé à gérer une descente des enfers… Déjà que moi les descentes, je suis pas fan-fan-fan (surtout que bon, je gère mal quoi), mais là, c’était épique. Toi aussi tu veux avoir des pulsions suicidaires pendant un mois ? Vis ma vie de drogué !
Bref, j’en suis arrivé à un point où je n’arrivais plus à me dire « mais c’est pas grave Gauthier, tout ça c’est juste chimique ! ». Non quand tu en es à ta deuxième semaine d’insomnie jonchée de cauchemars éveillés, tu ne peux plus te dire que c’est « juste » chimique, tu craques, point barre.
J’ai donc passé un mois très drôle au final (je me suis pas rendu compte que le soleil se levait entres autres) et que j’ai rencontré plein de gens aussi rigolos que moi (des drogués quoi). En même temps, je suis très fier de moi, ben vi, je suis toujours en vie (et je suis toujours une insulte à ceux qui meurent bêtement, comme en essayant de changer une roue sur le periph’ ou en glissant sur une capote pleine…).
J’ai bien dépensé plein d’argent que j’avais pas encore, que j’allais avoir, que j’avais eu, mais que de toute façon je n’avais pas…
Là il faut rajouter un sous-titre (ou une catégorie comme vous voulez), pour comprendre la suite et attaquer le mois d’août.
Le chômage, un état d’esprit, un choix de vie !
La suite demain...
On va essayer de faire des catégories, histoire de pas trop s’éparpiller…
Piqûre de rappel : fin d’année scolaire et début de vacances.
A la fin de l’année, j’étais assez nostalgique de mes gamins. Finalement ça c’est plutôt bien passé ce petit stage dans la maison éducnat’, et je me suis senti tout bizarre quand je me suis rendu compte que ça me plaisait bien !
Mais j’en suis vite revenu, si j’ai autant apprécié ces 4 mois de taff, ça vient surtout du fait que, premièrement, je n’avais pas bosser depuis 1 an, et oui, au bout d’un moment, le boulot ça vous manque (essayez, vous verrez), et deuxièmement, je savais que c’était pour 4 mois maximum, et qu’après je devrais trouver autre chose, peut-être un taff pour lequel j’ai vraiment fait les études adéquat (genre dans la politique quoi, soyons fous !).
Moralité, arrivé début juillet, je me suis pris un retour de bâton mémorable. Déjà, ça fait un petit moment que je déprimais grave avant de retourner au taff, et en fin de compte je n’ai jamais arrêté, je suis juste passé en mode euphorie. Et qu’est ce qui vient après l’euphorie ? Ben la chute…
Et la chute fut relativement mémorable.
Pour éviter de me jeter par la fenêtre, je suis parti me ressourcer dans ma famille (Cantal et Toulouse), ça m’a fait du bien, ça y a pas à dire.
Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin, et comme je me suis bien mis la tête sous le sable pendant 4 mois, ben je me suis retrouvé face à des choses difficilement gérables au final. Mais ça mérite une autre catégorie.
Débauche mon amour, je me vautre en ton sein…
La semaine de mon retour à Paris fin juillet, je suis sorti du mardi au samedi non-stop. Je suis resté bourré et perché pendant près de 6 jours au final. Et 6 jours de défonce, ben ça sous-entend rien de bien bon.
Je me suis retrouvé à gérer une descente des enfers… Déjà que moi les descentes, je suis pas fan-fan-fan (surtout que bon, je gère mal quoi), mais là, c’était épique. Toi aussi tu veux avoir des pulsions suicidaires pendant un mois ? Vis ma vie de drogué !
Bref, j’en suis arrivé à un point où je n’arrivais plus à me dire « mais c’est pas grave Gauthier, tout ça c’est juste chimique ! ». Non quand tu en es à ta deuxième semaine d’insomnie jonchée de cauchemars éveillés, tu ne peux plus te dire que c’est « juste » chimique, tu craques, point barre.
J’ai donc passé un mois très drôle au final (je me suis pas rendu compte que le soleil se levait entres autres) et que j’ai rencontré plein de gens aussi rigolos que moi (des drogués quoi). En même temps, je suis très fier de moi, ben vi, je suis toujours en vie (et je suis toujours une insulte à ceux qui meurent bêtement, comme en essayant de changer une roue sur le periph’ ou en glissant sur une capote pleine…).
J’ai bien dépensé plein d’argent que j’avais pas encore, que j’allais avoir, que j’avais eu, mais que de toute façon je n’avais pas…
Là il faut rajouter un sous-titre (ou une catégorie comme vous voulez), pour comprendre la suite et attaquer le mois d’août.
Le chômage, un état d’esprit, un choix de vie !
La suite demain...
1 commentaire:
Sans la moindre intention d'être hautaine, ça te fait vraiment tripper ce genre de vie?
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