Mardi soir, j’émerge difficilement après ma virée au milieu de la verdure, je suis encore complètement défoncé quand MisterBitch arrive chez moi avec Pochep à 23h. Je leur offre une vodka, moi je tourne au coca, je suis déphasé comme rarement…
Pochep rentre chez lui, MisterBitch veut aller manger dehors. Je refuse, je lui raconte ma nuit et lui expose clairement le pourquoi du comment que dans une heure maxi je vais pioncer.
Une heure plus tard j’ai bu une demi bouteille de champagne et je suis dans un restaurant à Opéra.
Vous avez dit volonté ?
On mange bien, on boit du vin, MisterBitch couine toutes les 5 minutes quand on est dans le taxi tellement il trouve Paris magnifique (en même temps le quartier de l’Opéra c’est pas le plus moche non plus !).
On file au Cud pour, et je cite MisterBitch, « boire un petit verre et rentrer tôt ». La suite, vous vous en doutez, sera bien différente. On boit comme de trous. La provinciale se fait draguer de toute part, je tombe sur des gens que je connais, je bois, je bois, je bois…
Plus les heures passent, et plus j’ai du mal à me mouvoir de façon coordonnée. La musique est sympa, j’essaie de danser. Je sens que la fin est proche quand je n’arrive plus à contourner le pilier au centre de la piste de danse.
Mais je suis sûr qu’il y a un mécanisme caché quelque part qui le mettait constamment sur ma route. Je pense que j’ai beaucoup fait rire les gens qui étaient là à me voir buter dans ce pilier de façon répétée genre « jeux vidéo qui bug ».
C’te honte internationale !
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ma fin de nuit, je sais juste qu’à un moment j’étais assis sur une chaise et que MisterBitch est venu me demander si j’allais bien, j’ai répondu « oui, bien sûr, je suis juste incapable de me lever, mais je gère ».
Au prix d’un effort incommensurable, j’ai réussi à déplacer ma carcasse jusqu’au vestiaire, puis jusqu’à l’extérieur du club. Heureusement pour nous deux (parce qu’il était pas très frais le père Bitch non plus), un tacos libre passait justement devant nous au moment ou nous disions au revoir au videur.
Connard de taxi au passage, il ne voulait pas que j’ouvre ma vitre, extrait de conversation :
Ce qui est totalement faux, mais il faisait vraiment, vraiment trop chaud dans son taxi. Mais j’ai pu avoir ma vitre ouverte quand même ! Non mais oh…
Retour au bercail, et dodo du juste !
MisterBitch c’est le diable, moi je voulais dormir tranquillement à 1h, et je me retrouve à me battre pour avoir de l’air dans un taxi complètement bourré à 5h30 du matin !
J’ai laissé entrer le diable chez moi…
…
Maman j’ai peur !
Pochep rentre chez lui, MisterBitch veut aller manger dehors. Je refuse, je lui raconte ma nuit et lui expose clairement le pourquoi du comment que dans une heure maxi je vais pioncer.
Une heure plus tard j’ai bu une demi bouteille de champagne et je suis dans un restaurant à Opéra.
Vous avez dit volonté ?
On mange bien, on boit du vin, MisterBitch couine toutes les 5 minutes quand on est dans le taxi tellement il trouve Paris magnifique (en même temps le quartier de l’Opéra c’est pas le plus moche non plus !).
On file au Cud pour, et je cite MisterBitch, « boire un petit verre et rentrer tôt ». La suite, vous vous en doutez, sera bien différente. On boit comme de trous. La provinciale se fait draguer de toute part, je tombe sur des gens que je connais, je bois, je bois, je bois…
Plus les heures passent, et plus j’ai du mal à me mouvoir de façon coordonnée. La musique est sympa, j’essaie de danser. Je sens que la fin est proche quand je n’arrive plus à contourner le pilier au centre de la piste de danse.
Mais je suis sûr qu’il y a un mécanisme caché quelque part qui le mettait constamment sur ma route. Je pense que j’ai beaucoup fait rire les gens qui étaient là à me voir buter dans ce pilier de façon répétée genre « jeux vidéo qui bug ».
C’te honte internationale !
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ma fin de nuit, je sais juste qu’à un moment j’étais assis sur une chaise et que MisterBitch est venu me demander si j’allais bien, j’ai répondu « oui, bien sûr, je suis juste incapable de me lever, mais je gère ».
Au prix d’un effort incommensurable, j’ai réussi à déplacer ma carcasse jusqu’au vestiaire, puis jusqu’à l’extérieur du club. Heureusement pour nous deux (parce qu’il était pas très frais le père Bitch non plus), un tacos libre passait justement devant nous au moment ou nous disions au revoir au videur.
Connard de taxi au passage, il ne voulait pas que j’ouvre ma vitre, extrait de conversation :
- Vous voulez que je m’arrête pour vous laisser vomir ?
- Mais je n’ai pas du tout envie de vomir, je veux juste un peu d’air…
- Je vais pas conduire en polaire parce que vous refusez d’enlever votre écharpe, il fait trop froid, déshabillez-vous !
- Je suis claustro, si vous me bloquez la vitre, je vais faire un malaise !
Ce qui est totalement faux, mais il faisait vraiment, vraiment trop chaud dans son taxi. Mais j’ai pu avoir ma vitre ouverte quand même ! Non mais oh…
Retour au bercail, et dodo du juste !
MisterBitch c’est le diable, moi je voulais dormir tranquillement à 1h, et je me retrouve à me battre pour avoir de l’air dans un taxi complètement bourré à 5h30 du matin !
J’ai laissé entrer le diable chez moi…
…
Maman j’ai peur !
5 commentaires:
Salut Gauthier! *__O
Ce message aura un caractère "informatif" pour qui voudra bien accorder de la valeur à "l'information" ci-présente (qui n'a soi dit en passant, rien à voir avec ton article):
http://www.dailymotion.com/relevance/search/au%2Brevoir%2Bsimone/video/x1x1pw_au-revoir-simone-sad-song_music
Bonne soirée à toi et bon week-end ! ^__^
Espérant te lire par mail bientôt...
Une pâle brune provinciale
PS : Cette chanson à des faux airs de celle(s) de "Virgin suicides", non ?
gaugau !! est-ce bien sérieux ?! ^-^
bonjour! est ce que tu as deja eu la curiosite de vouloir savoir combien de ton audience est homo? voudrais tu partager cette info?
Leo
ah ,à tant tirer le diable par la queue...
quel palpitante abenture !
tu as trituré le diable par la queue ! comme dit si bien jos ....
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