Avec le Vodka club on a plein de mauvaises habitudes, mais ça vous avez du vous en rendre compte tout seul ! L’une d’entre elles c’est l’amour de la bouffe. Mais attention, quand je parle de bouffe, je ne parle pas de Quick’n’toast, non je parle de bouffe orgiaque à tendance éclatage de panse en groupe.
Du coup, aussi souvent qu’on peut, on se réunit à deux, trois, quatre ou douze pour se baffrer comme des romains sur le déclin. Jeudi soir c’était au tour de 7h48 de recevoir. Comme à chaque fois qu’on bouffe chez elle, elle fait tout pour nous filer des complexes.
Non mais c’est vrai, bouffer chez 7h48 c’est un peu comme dans un restaurant 3 étoiles. Du coup tu ne peux pas ne pas aimer (sauf si tu t’appelles grenouille), et surtout tu as honte en imaginant la dernière fois où toi tu lui as fait à bouffer…
Cette fois on était 7, ce qui fait qu’elle a passé 48h à cuisiner comme une dingue pour nous faire un truc avec apéro, entrée, plat, dessert (x2 le dessert, mais le deuxième c’est moi qui l’ait fait !). Avec un programme comme ça, tu te dis qu’il va y avoir de petites quantités, et que ça ne sera pas trop recherché.
Perdu, non seulement c’était divin, j’ai mangé des trucs que je savais même pas que ça existait (demandez lui le menu, me souviens pas de tous les noms), mais en plus il y en avait trop.
Et quand je dis trop, c’est qu’en équivalant Kcal, l’Afrique subsaharienne aurait pu tenir un an avec ce qu’il y avait sur la table. Une honte, quand on pense à la faim dans le monde… Bref !
Donc à part grenouille, qui ne mange rien d’autre que des féculents et de la viande rouge (oui c’est un néenderthal bloqué à l’adolescence ! Mais on l’aime quand même…), tout le monde s’est régalé, s’est resservi, et a demandé grâce avant la fin du repas.
Tant et si bien que je me suis honteusement enfuie à 1h30 profitant d’un convoie humanitaire qui passait pas loin de chez moi (merci Isia). Une fois chez moi, j’ai attendu la mort (qui n’est pas venu, mais ça vous l’aurez compris tout seul comme des grands !)
La dernière fois que je me suis rendu malade en mangeant, c’était noël 2006. Et je m’étais juré à l’époque (allongé en travers du canapé, incapable d’aller dans une chambre) que plus jamais de ma vie je mangerai autant !
Il semblerait que, comme toutes les promesses basées sur ma volonté que j’ai pu faire dans le passé, celle-là aussi ne tint pas… Je suis resté éveillé jusqu’à 4h30 du matin, à faire des allers-retours entre mes chiottes et mon lit.
Je ne me suis pas fait vomir, non ça aurait été un crime ! Mais c’est pas passé loin, en fait je m’étais laissé jusqu’à 4h pour finir ma crise de foie sans vomir. Ça aurait été dommage de foutre tout ça dans les égouts non ? (quoique ça finira par y aller, en passant par ailleurs, mais là n’est pas le sujet !).
J’ai passé la journée d’aujourd’hui à me sentir lourd (plus que d’habitude, c’est pour dire), mais j’ai survécu. Je tire une leçon de cette histoire : il ne faut pas fumer du shit pendant un repas gargantuesque !
Saloperie de sensation de satiété soumis à la chimie organique détraquée de mon corps de drogué !
Du coup, aussi souvent qu’on peut, on se réunit à deux, trois, quatre ou douze pour se baffrer comme des romains sur le déclin. Jeudi soir c’était au tour de 7h48 de recevoir. Comme à chaque fois qu’on bouffe chez elle, elle fait tout pour nous filer des complexes.
Non mais c’est vrai, bouffer chez 7h48 c’est un peu comme dans un restaurant 3 étoiles. Du coup tu ne peux pas ne pas aimer (sauf si tu t’appelles grenouille), et surtout tu as honte en imaginant la dernière fois où toi tu lui as fait à bouffer…
Cette fois on était 7, ce qui fait qu’elle a passé 48h à cuisiner comme une dingue pour nous faire un truc avec apéro, entrée, plat, dessert (x2 le dessert, mais le deuxième c’est moi qui l’ait fait !). Avec un programme comme ça, tu te dis qu’il va y avoir de petites quantités, et que ça ne sera pas trop recherché.
Perdu, non seulement c’était divin, j’ai mangé des trucs que je savais même pas que ça existait (demandez lui le menu, me souviens pas de tous les noms), mais en plus il y en avait trop.
Et quand je dis trop, c’est qu’en équivalant Kcal, l’Afrique subsaharienne aurait pu tenir un an avec ce qu’il y avait sur la table. Une honte, quand on pense à la faim dans le monde… Bref !
Donc à part grenouille, qui ne mange rien d’autre que des féculents et de la viande rouge (oui c’est un néenderthal bloqué à l’adolescence ! Mais on l’aime quand même…), tout le monde s’est régalé, s’est resservi, et a demandé grâce avant la fin du repas.
Tant et si bien que je me suis honteusement enfuie à 1h30 profitant d’un convoie humanitaire qui passait pas loin de chez moi (merci Isia). Une fois chez moi, j’ai attendu la mort (qui n’est pas venu, mais ça vous l’aurez compris tout seul comme des grands !)
La dernière fois que je me suis rendu malade en mangeant, c’était noël 2006. Et je m’étais juré à l’époque (allongé en travers du canapé, incapable d’aller dans une chambre) que plus jamais de ma vie je mangerai autant !
Il semblerait que, comme toutes les promesses basées sur ma volonté que j’ai pu faire dans le passé, celle-là aussi ne tint pas… Je suis resté éveillé jusqu’à 4h30 du matin, à faire des allers-retours entre mes chiottes et mon lit.
Je ne me suis pas fait vomir, non ça aurait été un crime ! Mais c’est pas passé loin, en fait je m’étais laissé jusqu’à 4h pour finir ma crise de foie sans vomir. Ça aurait été dommage de foutre tout ça dans les égouts non ? (quoique ça finira par y aller, en passant par ailleurs, mais là n’est pas le sujet !).
J’ai passé la journée d’aujourd’hui à me sentir lourd (plus que d’habitude, c’est pour dire), mais j’ai survécu. Je tire une leçon de cette histoire : il ne faut pas fumer du shit pendant un repas gargantuesque !
Saloperie de sensation de satiété soumis à la chimie organique détraquée de mon corps de drogué !
6 commentaires:
En tant qu'ancien boulimique, je comprends tout à fait dans quel état tu t'es trouvé. Ici en plus convivial (à 7 !) et avec des plats plus cuisinés que ce que je m'enfilais comme on se fait un shoot, comme un drogué, avec une sensation de gueule de bois le lendemain comme un alcoolique.
moi aussi, je connais... tu bouffes tellement que t'en as la gerbe, mais tu continues tellement t'es en manque de graisses et autres sucres (moi c'était ça)
Le lendemain je courais comme une déraétée 1h30 à jeûn. Et je m'étonnais d'avoir la tête qui tourne.
enfin bon...
Bon je laisse pas souvent de commentaires sur les blogs qui ont l'honneur d'apparaître sur mon écran, mais bon là j'y ai passé un certain temps comparé à d'habitude (cad plus de 40 secondes). Faut dire que t'en as des choses à raconter.
Donc j'aime bien le côté posh, parisien mais attendrissant à la fois.
J'y ai même trouvé des points communs avec ma vie à moi (une sale manie de faire des galipettes avec des garçons, de la famille dans le cantal (ouch) et des opinions politiques de gauche intelligente, celle qui sait que Trostki est mort et qu'un TCE n'est pas une déclaration de politique générale). Y'a aussi jeune diplomé et chômeur -quoi que pour jeune je ne sais pas encore qui me dit que t'es pas un chômeur senior?-.
En revanche (il faut bien que je critique quand même), c'est un peu trop milieu gay pour moi (quoique que j'ai pas encore vu d'articles présentant la discographie de Mylène, donc j'exagère peut-être un peu..), mais bon chacun son trip.
Autre truc: tu oses critiquer Argelès-Plage, qui certes est un repère de beaufs picards en mal de glaces au chocolat et de luna park, mais qui est aussi la ville phare de ma région (suis catalan, personne n'est parfait). Accessoirement et pour info c'est un peu le spot gay du roussillon, grâce à quelques bars et une boîte un brin malsaine mais qui a le mérite d'exister.
Bon je te laisse c'est déjà trop long pour un commentaire.
A +
PS: Je m'appelle Thibault j'ai 24 ans.
hahaha tu ne peux pas baiser, alors tu bouffes, tu bouffes et tu bouffes. Tu vas devenir ENORME.. hahaha!
Et oui ... ta seule source d'exercice physique, c'était baiser... maintenant tu ne baises plus, et tu manges pour 12... tu vas grossir... et dès lors encore moins baiser !
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