Je profite d’un retard de la part de mes amis pour vous raconter l’après grosse crise de la nuit de jeudi !
Vendredi, je me suis donc levé (enfin j’ai fini mon coma) à 16h quelque chose comme ça, c’est encore flou. Je traîne en buvant du coca et en fumant clope sur clope ! Mon tel sonne, c’est ma mère, elle a choisi ce jour-là pour me parler de l’avancée du divorce. Je bénis les dieux, mais vraiment.
Mais je vous reparlerai du divorce de mes géniteurs plus tard. Je m’enfile donc un autre lexo, histoire de maintenir le taux suffisamment élevé pour pouvoir dire « merci » si on me crache dans la gueule, j’en ai besoin. Ensuite je passerai plus d’une heure au tel avec Emma (merci de m’aimer Emma). Emma c’est un peu une gosse pilule pour moi, quand ça va pas je peux lui parler, elle sait m’écouter, me parler, et elle a une voix qui me calme, tout de suite. C’est affolant. Bref Emma me rassure, et je décide de me mettre en mouvement pour ma soirée.
C’est l’anniversaire d’un copain d’un copain. Bref je vais faire un peu cheveux sur la soupe vu que je ne connais pas grand monde. Pour dissiper le malaise je me ramène avec un sac chargé d’alcool (4 bouteilles) et je me dis que ça devrait les rendre content de me voir !
Arrivée là, c’est l’horreur, genre réunion de grands mères autour d’une verveine, ambiance de mort. Super, on va trop s’amuser. Avec mes potes on décide de prendre les choses en main, et une fois une bouteille de vodka descendue à trois en un temps qui ferait pâlir Gainsbourg, on commence à se mélanger aux gens pour blablater.
Après trois boulettes mémorables de ma part (oui je suis le roi du « pied dans le plat »), je décide d’arrêter de parler aux gens. Je me mets donc en quête de drogue, j’en trouve, et ça sera le début de la fin.
Je me suis fait trois copines trop drôle, tout le monde part à une deuxième soirée où moi et mes potes on ne connaît personne, ils décident de nous emmener avec eux (forcément on est très drôle).
La deuxième soirée était beaucoup plus marante, 50 personnes dans 50m2 à deux pas de mon ancien appart. Musique à fond de chez à fond avec des gens qui hurlent, qui vomissent, qui dansent, qui baisent. Dommage, il n’y avait que 4 pédés et c’étaient tous mes amis. Tant pis je vais donc faire peur aux hétéros. J’en suis à 3 traces quand je jette mon dévolu sur un militaire (j’ai passé 5 minutes à essayer de lui toucher les fesses, mais il est très gentil, il ne m’a pas tapé). Après la 4ème tout devient plus flou, je me souviens avoir dit à un mec qui avait les cheveux long « les cheveux long s’est sympa pour s’accrocher pendant la levrette ! ça te dis d’essayer ? ». Il avait l’air tout timide, alors pour le décoincer je lui dis « tu sais je suce très bien, ça va te plaire ». Là je pense que j’ai fini de l’achever, je suis un monstre.
Mais j’aime faire peur aux gens timides ! Tant et si bien qu’une fille que je connais depuis peu ponctuait toutes mes intervention de « ça c’est Gauthier ! », genre « fais pas gaffe il mort pas ! ». Je me suis fait un autre ami, un hétéro dans un état pire que moi qui n’arrêtait pas de me faire des câlins, lui c’est clair qu’en demandant gentiment j’aurais pu le sucer, mais je ne voyais pas l’intérêt, moi ce que j’aime c’est le défi !!!!!
Vers 5h30 je finirai par prendre un taxi en déclinant l’after parce que je commence à avoir mal à la tête et surtout je sens la mauvaise humeur pointer ! Je rentre, je m’assomme de médocs, et je dors.
Là je suis en train de boire une bouteille de champagne rosé que je devais amener à la soirée où je suis attendu, mais comme mes potes sont en retard, je prend un peu d’avance, et puis j’ai de la vodka et de la bière à offrir, ça devrait aller !
J’ai le nez à l’envers de chez à l’envers, un truc de ouf. Je me souviens que quand j’étais dans l’ascenseur pour rentrer chez moi cette nuit j’ai remarqué que j’avais de la poudre sur la moitié du visage ! La honte intégrale !
Ce soir ça sera le même topo, si je survis je vous raconte ça demain ! Bon samedi soir à toutes z’et tous !
Vendredi, je me suis donc levé (enfin j’ai fini mon coma) à 16h quelque chose comme ça, c’est encore flou. Je traîne en buvant du coca et en fumant clope sur clope ! Mon tel sonne, c’est ma mère, elle a choisi ce jour-là pour me parler de l’avancée du divorce. Je bénis les dieux, mais vraiment.
Mais je vous reparlerai du divorce de mes géniteurs plus tard. Je m’enfile donc un autre lexo, histoire de maintenir le taux suffisamment élevé pour pouvoir dire « merci » si on me crache dans la gueule, j’en ai besoin. Ensuite je passerai plus d’une heure au tel avec Emma (merci de m’aimer Emma). Emma c’est un peu une gosse pilule pour moi, quand ça va pas je peux lui parler, elle sait m’écouter, me parler, et elle a une voix qui me calme, tout de suite. C’est affolant. Bref Emma me rassure, et je décide de me mettre en mouvement pour ma soirée.
C’est l’anniversaire d’un copain d’un copain. Bref je vais faire un peu cheveux sur la soupe vu que je ne connais pas grand monde. Pour dissiper le malaise je me ramène avec un sac chargé d’alcool (4 bouteilles) et je me dis que ça devrait les rendre content de me voir !
Arrivée là, c’est l’horreur, genre réunion de grands mères autour d’une verveine, ambiance de mort. Super, on va trop s’amuser. Avec mes potes on décide de prendre les choses en main, et une fois une bouteille de vodka descendue à trois en un temps qui ferait pâlir Gainsbourg, on commence à se mélanger aux gens pour blablater.
Après trois boulettes mémorables de ma part (oui je suis le roi du « pied dans le plat »), je décide d’arrêter de parler aux gens. Je me mets donc en quête de drogue, j’en trouve, et ça sera le début de la fin.
Je me suis fait trois copines trop drôle, tout le monde part à une deuxième soirée où moi et mes potes on ne connaît personne, ils décident de nous emmener avec eux (forcément on est très drôle).
La deuxième soirée était beaucoup plus marante, 50 personnes dans 50m2 à deux pas de mon ancien appart. Musique à fond de chez à fond avec des gens qui hurlent, qui vomissent, qui dansent, qui baisent. Dommage, il n’y avait que 4 pédés et c’étaient tous mes amis. Tant pis je vais donc faire peur aux hétéros. J’en suis à 3 traces quand je jette mon dévolu sur un militaire (j’ai passé 5 minutes à essayer de lui toucher les fesses, mais il est très gentil, il ne m’a pas tapé). Après la 4ème tout devient plus flou, je me souviens avoir dit à un mec qui avait les cheveux long « les cheveux long s’est sympa pour s’accrocher pendant la levrette ! ça te dis d’essayer ? ». Il avait l’air tout timide, alors pour le décoincer je lui dis « tu sais je suce très bien, ça va te plaire ». Là je pense que j’ai fini de l’achever, je suis un monstre.
Mais j’aime faire peur aux gens timides ! Tant et si bien qu’une fille que je connais depuis peu ponctuait toutes mes intervention de « ça c’est Gauthier ! », genre « fais pas gaffe il mort pas ! ». Je me suis fait un autre ami, un hétéro dans un état pire que moi qui n’arrêtait pas de me faire des câlins, lui c’est clair qu’en demandant gentiment j’aurais pu le sucer, mais je ne voyais pas l’intérêt, moi ce que j’aime c’est le défi !!!!!
Vers 5h30 je finirai par prendre un taxi en déclinant l’after parce que je commence à avoir mal à la tête et surtout je sens la mauvaise humeur pointer ! Je rentre, je m’assomme de médocs, et je dors.
Là je suis en train de boire une bouteille de champagne rosé que je devais amener à la soirée où je suis attendu, mais comme mes potes sont en retard, je prend un peu d’avance, et puis j’ai de la vodka et de la bière à offrir, ça devrait aller !
J’ai le nez à l’envers de chez à l’envers, un truc de ouf. Je me souviens que quand j’étais dans l’ascenseur pour rentrer chez moi cette nuit j’ai remarqué que j’avais de la poudre sur la moitié du visage ! La honte intégrale !
Ce soir ça sera le même topo, si je survis je vous raconte ça demain ! Bon samedi soir à toutes z’et tous !
12 commentaires:
Vilain garçon, je te rappelle que je t'avais conseillé de ne pas trop ingérer de substances, vu ton néfaste mélange de la veille...
Je veux bien être ta pilule géante, mais si tu pouvais écouter mes conseils un peu...
Commentaire non moralisateur mais intrigué :
Et combien de temps tu tiens face à toi même, sans poudre, pillule et autres substances ?
"Vers 5h30 je finirai par prendre un taxi en déclinant l’after parce que je commence à avoir mal à la tête et surtout je sens la mauvaise humeur pointer !" : raisonnable, enfin!
Je vois que tu t'en est vite remis de ton heure de Réalité...jusqu'à la prochaine car c'est comme un vieux bout de scotch (ou de sparadrap, au choix): il nous colle et on ne s'en débarasse jamais ;-)!
il est 18h passé et je rentre juste d'after... c juste inimaginable!, je vous racontes ça plus tard!
Yan Moix va être jaloux!
Je comprends pas bien... tu te dégoûtes et tu refais pareil juste après ? Le cercle vicieux, je connais, mais y'a un moment on est tous capables de se sortir les doigts du cul si on veut réussir à ne pas finir comme une merde...
Ouais la t'as plus trop le droit de te plaindre apres ... désolé mais bon ...
Non moi suis zaloux de son mode de vie lol
Ouais, trop lol.
"Il mort pas!" Quel lapsus !!
Tu écris trop bien pour penser que c'est une simple faute...
Amour, fais moi la mort !
faudrait vraiment que tu lèves le pied avec la dope et l'alcool... tu vas finir comme quelqu'un de ma famille que l'alcool a rendu à l'etat d'épave... le cerveau grillé, sans boulot of course (qui veut d'un alcoolo au boulot ?), des potes qui le tirent vers le bas et limite clodo.... tu as vraiment un problème avec l'alcool, et il est sans doute pas trop tard pour te réveiller.
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