Depuis quelques temps j’ai un peu l’impression de me défouler sur vous. Alors d’accord si ce blog ne devait avoir qu’un but, il serait thérapeutique. Oui je suis complètement déjanté et j’ai besoin d’évacuer mes angoisses ici, publiquement, devant un parterre d’inconnus.
Le fait est que ça dure depuis plus de deux ans maintenant (pas la peine de regarder bêtement les archives ici, j’ai changé deux fois d’adresse), et je dois dire que je commence à sérieusement m’attacher à vous tous. Ben vi, je vous aime bien. Alors après une semaine plutôt difficile, autant pour moi que pour vous, j’ai réfléchis au meilleur moyen de rendre votre vendredi plus sympathique.
J’avais le choix, vous raconter mes tribulations en vélib hier pour rentrer chez ma tante (arrivé à destination à 22h, soit 3h après avoir quitté mon taff, alors qu’en métro il me faut 30 minutes quand je marche sur les mains), mais non parce que si vous ça vous fait rire, moi c’est moyen quand même.
Alors j’aurais pu vous parler des dernières pierre-richarades de ma gran’tatie, mais elle est plutôt calme ces jours-ci (je pense qu’elle a enfin compris qu’il était inutile de me causer au réveil par exemple).
Bref j’ai pas grand-chose sous la main en fait, donc il restait l’option trois, un truc que je rêve de faire depuis que j’ai commencé à écrire sur internet. Un truc que je me suis toujours interdit de faire par peur plus qu’autre chose : vous raconter une histoire cochonne.
Parce qu’autant je suis un Dieu vivant du sexe, autant le faire et l’écrire c’est pas la même chose. Et puis c’est tellement impudique de se foutre littéralement à poil devant vous comme ça que bon j’hésite encore à le faire au moment même où j’écris ces lignes.
Et si c’était nul ? Et si j’étais incapable de le faire ? Et si ça vous faisait fuir ? Argh… Trop tard, j’ai commencé, je fini…
Avertissement : si tu es un garçon hétéro sensible, je te conseille de revenir lire ce blog un autre jour ! Si tu es mineur, sache que tu n’as rien à faire ici, non mais oh, les mineurs je ne les tolère que dans mon lit (qui a dit pédophile ?). Sinon bonne lecture à toutes z’et tous.
20h, je rentre chez moi après une journée de travail. La clé coince dans la serrure, je ne peux pas ouvrir, il semble qu’une autre bloque de l’intérieur. A travers la porte j’entends « chéri c’est toi ? », c’est mon homme, il a mes clés et me fait souvent la surprise de venir cuisiner chez moi quand il sait que je rentre tard. Il me demande de patienter un petit moment, il me dit que tout n’est pas prêt.
Mon homme est adorable, on est ensemble depuis 8 mois, et après quelques problèmes au début de notre relation, tout roule à merveille. Il est de taille moyenne, 1m80 pour 75 kg, musclé mais pas trop, avec des poignées d’amour que j’affectionnent. Il a un visage très doux, et quand il sourit sa bouche s’orne de deux magnifiques fossettes qui me font littéralement fondre. Son corps est sublime et presque entièrement dépourvu de poil ce qui me rend encore plus amoureux de sa peau si douce. Je l’appelle « mon ange » parce que tout dans son corps, ses attitudes, son visage, est angélique.
Au début de notre relation il était sexuellement novice, et j’ai dû tout lui apprendre, aussi bien comment dégrafer un pantalon d’une main que quelle position stimule le plus la prostate pendant l’acte. De ce fait il est devenu un excellent amant, un de mes meilleurs, nous n’avons plus besoin de parler pour savoir ce qui plait à l’autre. La complicité est telle que l’on sait contrôler l’orgasme de l’autre à la perfection, ce qui permet des joutes amoureuses d’une durée olympique.
Enfin il ouvre la porte, et alors que je m’attends à le trouver en panique avec un plat en préparation dans chaque main, il se tient juste devant moi limite sur le palier, nu comme un vers. Il me prend par la main et, en me faisant un clin d’œil, m’invite à entrer. J’ouvre la bouche pour lui demander ce qu’il se passe exactement, il pose sa main sur mes lèvres et me dit « à partir de maintenant tu ne dis plus rien, et tu te laisse faire ». Soit, ce n’est pas pour me déplaire.
Il me colle contre le mur pour m’embrasser, et alors que nos langues se cherchent je laisse courir mes mains sur son dos et descends vers ses fesses, il les retient et les plaque contre la cloison en me disant « tu te laisse faire j’ai dit ». J’acquiesce et m’abandonne à son bon vouloir.
Il m’enlève ma veste, mon pull, et mon tee shirt, il commence à dégrafer mon jean et le tire vers le bas. Pendant toute la manœuvre il se tient à quelques centimètres de mes lèvres, et dès que je m’avance pour l’embrasser il recule la tête en souriant et faisant « non » de la tête. Il continue à me déshabiller pendant que je le regarde, je suis nu maintenant, et il se colle enfin à moi.
Sa peau est douce, il sent bon, il me dit qu’il a pris un bain avec les huiles aromatisées que je lui ai offerte « je sens bon n’est ce pas ? Tu as envie d’y goûter ? », « oui » répond-je dans un souffle.
Il m’embrasse dans le cou, il mordille le lobe de mon oreille. Il sait que je suis sensible, et il m’arrache facilement un soupir d’aise. Je sens son sexe raide frotter contre ma cuisse. Etant plus grand que lui, la mienne grossi contre son ventre, je commence à être très excité et je mouille son nombril. Enfin il se décide à m’embrasser à nouveau. Nos lèvres s’effleurent doucement, puis il vient chercher ma langue en gémissant. Il passe ses mains sur mon torse et cherche mes tétons qu’il excite.
Il délaisse ma bouche pour venir lécher un de mes tétons. J’ai toujours les mains contre le mur derrière moi, il ne me les maintient plus, mais je n’ose pas les bouger sans son consentement. Je suis soumis, et ça m’excite de plus en plus.
Il continue à courir avec sa langue sur mon corps, et fini par trouver mon pubis, il survole mon sexe tant engorgé qu’il me donne l’impression d’être sur le point d’exploser. Il m’embrasse l’aine, puis les testicules, puis les cuisses, il s’attarde tant que je fini par me demander s’il va finir par remarquer mon érection.
Enfin il pose sa main sur mon sexe, et passe sa langue sur le méat, délicieuse sensation qui me fait ressentir des décharges électriques dans le dos. Il joue quelques instants avec mon gland, tantôt il le lèche, tantôt il pose ses dents, tantôt il le frotte contre ses lèvres. Je n’en peux plus, je veux qu’il me suce, mon sexe est prêt à exploser, il en devient violet. Il me regarde dans les yeux et me sourit, il sait qu’il a le pouvoir, il décide quand et comment, et moi je ne peux que supplier du regard. Il est accroupi devant moi, je suis toujours coller à mon mur que je ne peux plus quitter sous peine de voir mes jambes se dérober. J’ose bouger une main et caresse son visage d’ange, il embrasse ma paume et tout en continuant à me fixer dans les yeux, il avale d’un seul coup mon sexe.
La sensation est renversante. Sous l’effet de l’attente tous mes sens sont décuplés, la chaleur de sa bouche et la douceur de sa langue me transportent. Il enfonce mon sexe au maximum, le l’encourage en posant ma main derrière sa tête. Puis il commence des vas et vient, à chaque fois je butte contre le fond de sa gorge, je m’abandonne totalement.
Sentant que je suis en extase il décide d’accélérer, il prend mon sexe dans sa main et me masturbe tout en maintenant mon gland dans sa bouche. Je sens sa langue tourner et son souffle chaud. De l’autre main il me caresse tantôt le ventre, tantôt les fesses, et fini par me malaxer les testicules. Je suis au bord de l’explosion, je veux ouvrir la bouche pour lui dire d’arrêter, mais j’ai promis de ne rien dire.
Après quelques minutes seulement de ce traitement de faveur, j’explose. Il avale tout et s’applique à nettoyer mon sexe avec la plus grande délicatesse. Il lève les yeux et me dit « et bien je trouve que tu t’es bien battu, je pensais te faire jouir plus rapidement, vient avec moi, on va passer aux choses sérieuses » et m’arrachant à mon extase il me traîne à travers l’appartement…
La suite ?
20 commentaires:
ah j'imaginais qu'il te trompait et que l'amant attendait dans un placard, qu'il sortait un peu plus tard et te prenait comme une pucelle.
Je regarde trop de porno je pense.
je reviens de manger mais mon pantalon n'est pas devenu trop étroit de ce que j'ai manger! huhuh!
en fait la suite pas la peine ça gâcherait tout le plaisir de l'imagination!
Ben oui faut une suite, quelle question!!, ça s'impose, c'est un plaisir à lire.
la suite :-)
La suite ! :)
Magnifique. Comme par hasard, c'est en écrivant des histoires cochonnes que ton style est le meilleur et que tu fais le moins de fautes d'orthographe. Excellent. Nous aussi nous nous attachons à toi, tu arrives à nous donner envie de t'embrasser para les simples lettres que tu combines avec tes doigts presque tous les jours car en fait les mots nous ouvrent un chemin de choix vers ton intimité.
C'est dégueulasse.
c'est malin, j'ai la gaule !
Passer aux choses sérieuses... Le ménage ??? niark niark niark...
----->[]
LA SUIIITE!!!
Ca va pas de couper maintenant!!!^^
Excellent! Bravo bravo, très très excitant!
Depuis quand il y a des pub dans les films de cul ?
enfin franchement oui je veux la suite !!!
non je désactive le contrôle parental
et ce qui est marrant c'est tant d'amour là dedans....
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pitin comme si les films X de PinkTV ne me suffisaient pas...
délicieux...
hummm il me manque plus que l'image.Oui quand le prochaine épisode ?
Et quand on pense que grand'tatie a lu ce post une fois que G. avait claqué la porte... Et qu'elle m'a chargé de demander la suite!
La suite.
Je vais me crever les yeux en vomissant et je reviens...
Nonméçavapa de nous raconter ta vie sexuelle???
Tu dirais quoi si je te donnais des détails de mes ébats, moi? Hein? Quoi? Je...? Je le fais déjà?
...
...
Ha ouais, c'est vrai! ;)
"et je mouille son nombril"
euh...
moi hétéro...moi pas comprendre...
C'est un plaisir à lire, peut-être pas pour l'aspect sexuel mais ton écriture et ta manière de décrire les gestes est géniale.
J'attends le suite perso :-)
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