Ça doit souvent se sentir, et si tu ne l’imaginais pas, lecteur, trice, autre c’est que tu es d’un naturel indulgent : mais ce blog n’a aucune ligne éditoriale et encore moins une logique. Deux choses me font pondre des articles (ou post, ou billet, ou tous les noms que tu veux bien leur donner !).
La première : il m’arrive quelque chose, ou il arrive quelque chose à l’un de mes proches, et j’ai envie de te le raconter. Alors dans la majorité de mes écrits tout ceci est romancé/exagéré/édulcoré, mais il y a toujours un grand fond de vérité complètement vraie (il suffit de se reporter au sous-titre pour s’en douter !). Et ça ne me prend pas plus de 20 minutes de coucher tout ça !
La seconde : je me dis qu’il faut que je te parle, j’ouvre donc une fenêtre word, et en moins de 3 min et 42 sec (à peu prés hein !), j’ai une, puis deux, puis quinze idées que je te retranscris sans aucun effort intellectuel. D’ailleurs quand on compte les fautes et quand on voit le style, on se doute aussi très rapidement que je réfléchis pas beaucoup en écrivant.
Bref, ça n’est donc pas de la torture intellectuelle de te parler, tout se fait naturellement et sans douleur, en tout cas pour moi (enfin, en même temps si tu souffres en me lisant, j’aurais envie de te dire d’arrêter !). Mais ce soir je sèche complet !
Ouais, et je le dis haut et fort en plus, si c’est pas de l’honnêteté ça, je sais pas ce que c’est… Certains de mes blogo-potes s’obligent à pondre quelque chose tous les jours, ou tout du moins à une certaine cadence. Ils te diront qu’ils pensent d’abord à toi qui t’ennuies et qui a besoin de te distraire sur ton lieu de travail (et ton pauvre patron qui te payes à rien faire, qui y pense à lui, hein ?). Mais moi je vais te dire la vérité lecteur : un jour sans publication, c’est un trou dans les stats, et ça le blogueur, il aime pas !
Moi je n’ai pris aucun engagement avec qui que ce soit, et je ne me sens nullement obliger de venir te voir. Mais voilà, tu me manques rapidement, alors je me force un peu ce soir. Et puis je pense à toi qui va t’ennuyer demain matin au boulot… (hypocrisie à fond !).
Et puis il y a surtout le fait qu’en ce moment je n’ai pas grand-chose à foutre dans ma vie. J’ai certes de nombreuses distractions à ma disposition (merci les 35h d’avoir autant développé le secteur des loisirs en France). Mais qui dit pas de travail, dit aussi pas de salaire ! C’est d’ailleurs assez con je trouve. Ben oui, si on me donnait plus d’argent en ce moment, j’aurais tout à fait le temps d’aider Air France, la SNCF et le Club Med à combler leurs déficits !
Ils sont pas logiques nos hommes politiques, c’est pas compliqué comme réforme ! Au lieu de donner du temps à ceux qui ont du travail, donnons de l’argent à ceux qui ont du temps pour le dépenser !
GAUTHIER PRÉSIDENT !!!!
Je m’égare là non ? De toute façon je n’ai toujours rien à te raconter. Parlons de mon week-end pour meubler : je me suis retrouvé abandonné par mon homme jeudi, j’ai donc décrété que j’étais célibataire (trois fois qu’il repousse son déménagement, moi j’en peux plus), j’ai donc bu pour oublier. Vendredi, j’ai rebu parce que j’avais pas complètement oublié. Samedi, j’ai souffert en promettant de ne plus jamais boire de toute ma vie. Aujourd’hui j’ai rencontré un blogueur qui m’a filé plein de tuyaux pour trouver du travail (au passage : merci beaucoup !). Et ce soir, mon abruti de mec m’a dit qu’il avait sûrement trouvé du travail à Paris, et que donc il comptait venir. Au passage, il m’a engueulé parce que je m’emporte trop facilement alors que sa vie à lui n’est pas simple aussi ! (ben voyons !)
Un point partout, la balle au centre. Mais je suis quand même super fatigué par la situation mon amour, il va falloir prendre une décision, et vite ! Oui, vu que je n’ai aucune volonté et surtout aucun amour-propre, j’ai décidé (enfin il l’a décidé pour moi), que je n’étais pas célibataire…
Voilà, voilà, j’ai bien rien dit, je vais donc te laisser retourner à ton travail. Et active toi un peu ! Je te rappelle que c’est tes impôts qui me permettent de manger des pâtes et de payer le crédit de mon ordi ainsi que la connexion internet, et tout plein d’autres choses (comme l’alcool, les capotes, et tout ce qui fait que j’ai une vie si exaltante *rires*).
En gros lecteur, trice, autre tu es un peu mon employeur. Et ce soir, je viens de faire mon boulot pour la journée de lundi. Je vais donc aller regarder un Disney avant de dormir jusqu’à 14h, tout en ayant une pensée émue pour toi qui va te lever dans 4h !
Gauthier fumiste professionnel
Ps : j’aurais dû intituler cet article « comment insulter ses lecteurs pour être sûr de tous les perdre ! »
La première : il m’arrive quelque chose, ou il arrive quelque chose à l’un de mes proches, et j’ai envie de te le raconter. Alors dans la majorité de mes écrits tout ceci est romancé/exagéré/édulcoré, mais il y a toujours un grand fond de vérité complètement vraie (il suffit de se reporter au sous-titre pour s’en douter !). Et ça ne me prend pas plus de 20 minutes de coucher tout ça !
La seconde : je me dis qu’il faut que je te parle, j’ouvre donc une fenêtre word, et en moins de 3 min et 42 sec (à peu prés hein !), j’ai une, puis deux, puis quinze idées que je te retranscris sans aucun effort intellectuel. D’ailleurs quand on compte les fautes et quand on voit le style, on se doute aussi très rapidement que je réfléchis pas beaucoup en écrivant.
Bref, ça n’est donc pas de la torture intellectuelle de te parler, tout se fait naturellement et sans douleur, en tout cas pour moi (enfin, en même temps si tu souffres en me lisant, j’aurais envie de te dire d’arrêter !). Mais ce soir je sèche complet !
Ouais, et je le dis haut et fort en plus, si c’est pas de l’honnêteté ça, je sais pas ce que c’est… Certains de mes blogo-potes s’obligent à pondre quelque chose tous les jours, ou tout du moins à une certaine cadence. Ils te diront qu’ils pensent d’abord à toi qui t’ennuies et qui a besoin de te distraire sur ton lieu de travail (et ton pauvre patron qui te payes à rien faire, qui y pense à lui, hein ?). Mais moi je vais te dire la vérité lecteur : un jour sans publication, c’est un trou dans les stats, et ça le blogueur, il aime pas !
Moi je n’ai pris aucun engagement avec qui que ce soit, et je ne me sens nullement obliger de venir te voir. Mais voilà, tu me manques rapidement, alors je me force un peu ce soir. Et puis je pense à toi qui va t’ennuyer demain matin au boulot… (hypocrisie à fond !).
Et puis il y a surtout le fait qu’en ce moment je n’ai pas grand-chose à foutre dans ma vie. J’ai certes de nombreuses distractions à ma disposition (merci les 35h d’avoir autant développé le secteur des loisirs en France). Mais qui dit pas de travail, dit aussi pas de salaire ! C’est d’ailleurs assez con je trouve. Ben oui, si on me donnait plus d’argent en ce moment, j’aurais tout à fait le temps d’aider Air France, la SNCF et le Club Med à combler leurs déficits !
Ils sont pas logiques nos hommes politiques, c’est pas compliqué comme réforme ! Au lieu de donner du temps à ceux qui ont du travail, donnons de l’argent à ceux qui ont du temps pour le dépenser !
GAUTHIER PRÉSIDENT !!!!
Je m’égare là non ? De toute façon je n’ai toujours rien à te raconter. Parlons de mon week-end pour meubler : je me suis retrouvé abandonné par mon homme jeudi, j’ai donc décrété que j’étais célibataire (trois fois qu’il repousse son déménagement, moi j’en peux plus), j’ai donc bu pour oublier. Vendredi, j’ai rebu parce que j’avais pas complètement oublié. Samedi, j’ai souffert en promettant de ne plus jamais boire de toute ma vie. Aujourd’hui j’ai rencontré un blogueur qui m’a filé plein de tuyaux pour trouver du travail (au passage : merci beaucoup !). Et ce soir, mon abruti de mec m’a dit qu’il avait sûrement trouvé du travail à Paris, et que donc il comptait venir. Au passage, il m’a engueulé parce que je m’emporte trop facilement alors que sa vie à lui n’est pas simple aussi ! (ben voyons !)
Un point partout, la balle au centre. Mais je suis quand même super fatigué par la situation mon amour, il va falloir prendre une décision, et vite ! Oui, vu que je n’ai aucune volonté et surtout aucun amour-propre, j’ai décidé (enfin il l’a décidé pour moi), que je n’étais pas célibataire…
Voilà, voilà, j’ai bien rien dit, je vais donc te laisser retourner à ton travail. Et active toi un peu ! Je te rappelle que c’est tes impôts qui me permettent de manger des pâtes et de payer le crédit de mon ordi ainsi que la connexion internet, et tout plein d’autres choses (comme l’alcool, les capotes, et tout ce qui fait que j’ai une vie si exaltante *rires*).
En gros lecteur, trice, autre tu es un peu mon employeur. Et ce soir, je viens de faire mon boulot pour la journée de lundi. Je vais donc aller regarder un Disney avant de dormir jusqu’à 14h, tout en ayant une pensée émue pour toi qui va te lever dans 4h !
Gauthier fumiste professionnel
Ps : j’aurais dû intituler cet article « comment insulter ses lecteurs pour être sûr de tous les perdre ! »
5 commentaires:
Bon compte-tenu du montant ridicule de tes émoluments, moi (actionnaire à 1/28000000ème du Gauthier - 1 sur les 28 millions d'actifs - et je parle d'activité professionnelle là hein), je t'autorise à te contenter de ce billet (de moyenne qualité aujourd'hui mais bon...) comme justification de ton "salaire".
Reste l'avis des 27 999 999 autres. :ob
Bon... "comment essayer de passer pour un con, un abrutit, et un indécis, tout en se lançant quand même des fleurs, parce que bon... faut pas pousser mémé dans les orties" par Gaugau.
Oui, tu maîtrise le sujet y'a pas à dire ! J'aime bocu bocu (ou tu remarquera qu'il y a beau et cul dans le même mot, mais fort mal aurtografié) ton article.
Sur ce je vais bosser... ah mais nan pardon, je ne paye pas d'impos !!
mais on doit etre maso, on aime se faire insulter, oh oui encore ;)
Pour la première partie, je connais!! mais je n'ai ni la patience ni ton talent pour écrire un article comme le tien. De toute maniere je me fous totalement de mes stats donc... pas de soucis, enfin si je touche mon RMI sans compensation pour les lecteurs shame on me!
Pour Baby Boy, (je vois toujours Beyonce quand je lis ca ) je suis tres contente de lire ca, mais bon va peut etre falloir que tu lui dises qd meme, parce que la tu me fais l'effet d'une Charlotte en train de supplier Harry de fixer une date.
Z'êtes grave quand même, mais ça doit être pour ça que je vous aime!
Summer: ouais je sais pas trop où on va, mais qu'importe la destination, ce qui compte, c'est le voyage (philosophie de comptoir, je sais!)
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